Un lundi matin, à l'internat, je me réveillai tout à fait bien sauf une sensation étrange au cou. Cela ne me préoccupa en rien, car je savais que, puisque j'étais réellement l'enfant de Dieu, je ne pouvais me sentir mal.
Le lendemain, on me dit de rester au lit. Le médecin de l'école vint deux fois et jeudi il m'annonça que je pourrais me lever le jour suivant. Samedi, je dus retourner au lit.
Le jeudi suivant, le médecin fit un test sanguin: il me dit que j'avais la fièvre glandulaire et que je devais rester au lit pendant six semaines. Je n'y crus pas, sachant que Dieu envoyait seulement le bien à Ses enfants.
Maman appela alors une praticienne de la Science Chrétienne, qui m'aida à me remettre rapidement. Je rentrai à la maison dimanche, et lundi j'étais complètement guéri. J'en suis très reconnaissant. — Wall (Staffordshire), Angleterre.
J'aimerais ajouter un mot au sujet de la guérison de notre garçon. Mon mari le vit à l'internat le jour où l'on confirma qu'il avait la fièvre glandulaire et fut très inquiet de le voir si malade. Il m'en parla en arrivant à la maison tard dans la soirée et un message de l'école nous demanda de le reprendre chez nous.
J'appelai une praticienne tôt le lendemain. Nous reçûmes immédiatement une aide pleine d'amour et je ne ressentis aucune crainte. Je refusai d'accepter la prédiction que notre garçon devrait rester au lit des semaines. Un passage de la Bible m'aida beaucoup (I Jean 3:2): « Mes bien-aimés, dès à présent nous sommes enfants de Dieu. » Je compris clairement qu'en réalité il n'y avait pas de guérison à attendre, car l'enfant était déjà l'idée parfaite de Dieu et rien ne pouvait le séparer de Lui.
Nous allâmes deux jours plus tard à l'école de notre fils pour le ramener à la maison et je m'attachai à la vérité que tout ce qui semblait l'affecter était une fausse croyance de l'entendement mortel et que nous devions le reconnaître comme l'enfant parfait de Dieu. Les paroles suivantes de Mrs. Eddy nous aidèrent beaucoup (Science et Santé, Préf., p. vii): « Pour ceux qui s'appuient sur l'infini et qui en font leur soutien, aujourd'hui est gros de bienfaits. »
Arrivés à l'école, nous trouvâmes notre garçon habillé; il nous attendait. L'enflure du cou avait disparu. Un médecin appelé le lendemain pour satisfaire aux exigences légales dit qu'il ne pouvait trouver aucune trace de fièvre. A aucun moment, les médicaments ne furent employés.
Je suis très reconnaissante de cette guérison et de toute l'aide que j'ai reçue de la Science Chrétienne. —