Instinctivement, chacun désire être heureux. Mais si vous demandez à une personne: « Êtes-vous heureuse; êtes- vous contente, satisfaite? » dans la grande majorité des cas, la réponse ne sera qu'en partie affirmative, et souvent elle sera négative. En Science Chrétienne nous voyons que tant qu'on croit être séparé de Dieu on n'arrive pas à démontrer le bonheur. La croyance que l'on est séparé de Dieu, voilà l'erreur ou la difficulté fondamentale.
Ceux qui étudient sincèrement la Science Chrétienne démontrent à un degré remarquable le bonheur, la satisfaction, le contentement; la chose est possible parce qu'ils comprennent toujours davantage la totalité et l'omniprésence de Dieu, et se rendent compte que leur être véritable reflète cette présence. La nature éphémère et fausse des joies ou des plaisirs matériels leur apparaît toujours plus clairement.
Aux pages 9 et 10 de Miscellaneous Writings, Mary Baker Eddy, Découvreuse et Fondatrice de la Science Chrétienne, fait une remarque que tous les humains pourraient méditer avec fruit en ces jours de troubles, de tension, de désarroi. Elle dit: « Un faux sens de ce qui constitue le bonheur est plus nuisible au progrès humain que tout ce qu'un ennemi ou l'inimitié peuvent infliger à l'esprit, greffer sur ses objectifs et ses entreprises, pour éteindre les joies de la vie et pour en accroître les peines. » Comme le montre la Science Chrétienne, il faut d'abord saisir la réalité de l'être pour comprendre que le bonheur ne vient ni des personnes ni des contacts personnels, mais caractérise notre réflexion de la conscience divine — de l'Amour.
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