En 1936 je fis la connaissance d'une personne qui me parla de la Science Chrétienne. Depuis un certain temps, je cherchais quelque chose et j'étais sûre que Dieu me le montrerait. J'étais aussi parvenue à certaines conclusions fort nettes, et je m'aperçus bientôt que la Science Chrétienne les confirmait. Je suis profondément reconnaissante de ce qu'elle a fait pour moi et de tout ce qu'elle représente dans ma vie.
Je travaillais à Londres en 1940-41, et je puis dire en toute sincérité que le bombardement me causa très peu de crainte. Je fus admirablement protégée; les paroles qui m'aidèrent le plus furent je crois celles du cantique 267, dans le Christian Science Hymnal: « Notre Dieu, Tout-en-tout. » D'une manière remarquable elles réfutaient les apparences.
Je m'étais enrôlée depuis quelques jours dans un des services auxiliaires, et j'étais à bicyclette lorsque je fus renversée; on me conduisit à l'hôpital parce que j'avais une commotion cérébrale, une fracture du poignet, une dent brisée. L'amie qui était avec moi téléphona immédiatement à une praticienne dont l'aide fut très efficace; je puis vraiment dire que je n'eus aucune douleur, pas même des maux de tête, bien qu'on eût prédit de fortes migraines. La direction de l'hôpital insista pour que le poignet fût remis; je n'avais pas su qu'il était cassé. Depuis lors on a remarqué dans mon entourage que je peux mouvoir ce poignet aussi bien que l'autre, ce qui semble-t-il n'est pas généralement le cas après une fracture. C'est à la Science Chrétienne que j'attribue l'aisance avec laquelle je me sers de ce poignet.
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