Il y a plusieurs années, je subis un traitement médical, et les docteurs dirent à ma famille et à moi-même que ma carrière terrestre touchait à sa fin; sur ces entrefaites un ami me conseilla d’essayer la Science Chrétienne. C’était un avis précieux; mais ne sachant rien de la Science Chrétienne, j’hésitais à ne plus croire au secours médical; et pour suivre le conseil de mon ami, j’attendis d’être arrivé à la même conclusion que le spécialiste. Finalement un matin, alors que j’étais désespéré, après avoir consulté cinq docteurs je résolus d’essayer la Science Chrétienne.
L’Annuaire des Téléphones me fournit l’adresse de la Salle de lecture dans la ville où j’étais. J’y allai, et la bibliothécaire me dit qu’en Science Chrétienne il y avait non pas des docteurs mais des praticiens. Elle me donna l’adresse de la praticienne la plus proche, qui me reçut avec bonté. Je me sentais si abattu que je pensais ne pas pouvoir quitter son bureau sans aide, et je le dis à la praticienne. J’essayai aussi de la mettre au courant des divers maux dont j’étais affligé, selon les médecins. Elle me donna une Christian Science Sentinel et me demanda de lire un article portant ce titre: « Invariabilité. » Pendant cette lecture, la lumière de l’Amour divin perça les ténèbres du désespoir, et je fus instantanément guéri de ce que les médecins spécialistes avaient appelé un cancer de l’estomac, une maladie de cœur et un durcissement des artères. Je fumais depuis nombre d’années, mais après le traitement je détruisis tout mon tabac ainsi que mes remèdes; je me mis à manger de bon cœur des aliments solides, chose que la crainte m’avait empêché de faire depuis une année et davantage. Six mois après cette guérison, je pesais environ vingt-cinq kilos de plus qu’avant.
Dès lors j’ai parfois eu l’occasion d’aller chez un praticien, et chacune de mes visites a eu pour résultat une belle démonstration; je serais bien ingrat si je n’exprimais pas ma reconnaissance envers l’Amour divin pour toutes les bénédictions reçues ainsi que pour Science et Santé avec la Clef des Écritures, donné au monde par cette femme admirable, Mary Baker Eddy; un autre sujet de gratitude, ce sont les belles leçons et les démonstrations que j’ai eues et qui m’ont aidé à rompre avec les fausses prétentions de l’erreur.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !