Je suis vraiment reconnaissant de ce que la Science Chrétienne m'a enseigné et m'enseigne encore chaque jour.
Une des guérisons pour lesquelles je désire exprimer ma gratitude est celle d'une excroissance que deux chirurgiens en renom avaient diagnostiquée et décrite comme étant une tumeur. L'un de ces docteurs devait m'opérer et tous les arrangements étaient pris, lorsque j'en arrivai à la conviction que je ne désirais pas d'intervention chirurgicale.
Avant de me réveiller au fait spirituel que Dieu seul suffit à guérir toutes nos maladies, j'avais eu recours à une praticienne, qui m'avait aidé avec dévouement. Mais le mal n'avait pas cédé, et comme je n'étudiais la Science que depuis peu, le découragement m'avait gagné. Pourtant, comme le docteur ne pouvait me dire quel serait le résultat de l'opération ni m'assurer une guérison permanente, je recourus de nouveau à la Science Chrétienne et à la même praticienne qu'avant. Quand je me tournai sans réserve vers Dieu et que j'étudiai sérieusement le livre de texte, Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, bien des erreurs qu'il fallait détruire furent démasquées. La patience avait maintenant supplanté l'impatience. Le désir de réellement étudier avait remplacé la tiédeur. Une croyance de ressentiment et d'amertume qui se cachait dans ma conscience fut découverte et détruite. Quelques jours après avoir redemandé à la praticienne de me traiter, je me trouvai face à face avec les personnes envers lesquelles j 'avais eu tant d'amertume. Cette croyance d'amertume et de ressentiment était due à ce qui m'avait paru être une injustice dont j'aurais été la victime au cours d'une transaction commerciale remontant à plusieurs années. Mais cette fois-ci notre rencontre fut pleine de joie! L'Amour libérateur avait rempli ma conscience: toutes les pensées d'amertume et de ressentiment avaient été détruites. L'amour et la joie prévalaient là où avaient régné la haine et le ressentiment. Il en résulta ceci: le lendemain à mon réveil je constatai que pendant la nuit la tumeur avait percé, et les racines qui d'après le docteur n'auraient pu être facilement détruites étaient sorties sans aucune douleur. Cette incision resta ouverte pendant une dizaine de jours, jusqu'à ce que la suppuration eût entièrement cessé. En attendant je n'employai ni moyen matériel, ni antiseptique quelconque. La pensée de l'infection ne se présenta pas, comme elle l'aurait peut-être fait en médecine. Au bout d'environ dix jours tout était guéri, et aujourd'hui rien n'indique où était l'excroissance. Ce fut vraiment un cas de chirurgie mentale, opérant sans douleur et d'une manière permanente.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !
