Le cœur plein de reconnaissance, je porte témoignage de certaines guérisons que je dois à la Science Chrétienne. Il y a quelques années, il me vint à la jambe gauche des grosseurs très douloureuses qui m'empêchèrent de dormir la nuit suivante, quoique je déclarasse la vérité. Grâce au traitement d'une praticienne à laquelle je demandai de l'aide, la douleur disparut et je retrouvai le sommeil. Malheureusement, l'erreur se manifesta de nouveau le lendemain, me causant des douleurs plus fortes qu'avant. Le témoignage matériel semblait indiquer un mauvais empoisonnement du sang, car ma jambe était devenue noire; et j'entretenais des pensées de crainte, obstruant ainsi le chemin de la vérité.
La praticienne m'expliqua avec bonté qu'il n'y a pas de crainte dans l'Amour et que l'homme reflète toujours le Principe parfait, notre Père-Mère Dieu. Ces explications et le travail mental qu'elle fit par la suite m'aidèrent à tel point que je pus écarter les pensées de crainte. Dès lors les progrès furent rapides et au bout de trois jours tous les symptômes avaient disparu. J'étais libre, heureuse, et incapable de comprendre comment j'avais pu avoir quelques jours auparavant des pensées de mort. Le soir du troisième jour,―un mercredi,―j'assistai à la réunion de témoignage et pus remercier l'Amour divin de cette belle guérison.
Lors d'un accident, j'eus l'occasion de prouver davantage encore la puissance de Dieu. Ayant négligé l'exhortation de notre chère Leader qui nous dit de nous protéger chaque jour, je fis une chute et me fracturai le bras à deux places. La douleur fut si violente que je n'arrivai pas à saisir les pensées de la Vérité; mais je pus au moins empêcher mes amis de faire venir un docteur. On appela tout de suite une praticienne qui travailla mentalement; en outre, comme l'aspect de mon bras m'inspirait beaucoup de crainte, elle l'enveloppa d'un linge pour m'empêcher de le voir. Aujourd'hui, quand je songe à cette expérience, elle me paraît toujours merveilleuse: j'eus l'occasion de voir mon bras se remettre dans la mesure où ma pensée changeait. Une guérison se produisit dans ma conscience, et je le dois en première ligne à la coopération inlassable et dévouée de la praticienne; cette amie détruisit avec persistance les pensées de crainte et les remplaça par des pensées de Vérité, jusqu'à ce que je reconnusse que j'étais l'enfant parfaite de Dieu.
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