Depuis des années je considère la Science Chrétienne comme le plus grand bienfait dont j'aie jamais joui, et je désire sincèrement attester sa puissance curative. Dans le Manuel de L'Église Mère (Art. XVII, Sect. 2), Mrs. Eddy a ce passage: « La gratitude et l'amour doivent habiter le cœur chaque jour de toutes les années. Ces paroles sacrées de notre Maître bienaimé: 'Laisse les morts ensevelir leurs morts' et ‘Suis-moi’ appellent des efforts Chrétiens journaliers pour vivre sur le modèle de notre Maître ressuscité. »
C'est par un ami que la Science Chrétienne entra dans notre foyer; elle guérit tout d'abord ma femme d'une maladie grave, et plus tard notre jeune garçon d'une fièvre qui semblait vouloir l'enlever. Le même enfant fut en outre guéri d'un mal d'oreille chronique causant des douleurs incessantes. Comme la Science Chrétienne devenait notre seul médecin, je m'y intéressai graduellement et fus guéri d'une habitude qui durait depuis bien des années―l'usage du tabac. Par la suite le désir de l'alcool fut complètement vaincu; la guérison d'une pneumonie s'effectua en quelques jours; mes relations commerciales et mon travail devinrent plus harmonieux, plus productifs, et des maux trop nombreux pour être mentionnés furent guéris.
Il y a environ dix ans, j'étais avec quelques autres personnes dans une nouvelle automobile. Un des pneus n'était pas bien gonflé, et lorsque nous arrivâmes sur un terrain mêlé de gravier, la voiture fit un double capotage. Ma première pensée fut non pas le docteur mais l'aide de la Science Chrétienne. Mes compagnons et moi-même fûmes transportés à l'hôpital, où l'on déclara mon cas sans remède; j'avais une fracture du crâne, deux vertèbres disloquées, la clavicule brisée et disloquée; et pendant neuf jours les intestins ne fonctionnèrent pas. Le docteur voulait m'immobiliser en me mettant dans le plâtre. Nous nous adressâmes à un praticien de la Science Chrétienne, et au bout de deux jours, l'hôpital me laissa partir sans autres soins de la part des docteurs. En vérité, Dieu gouverna toute la situation, et mon cœur Lui rendit grâces, car au bout de cinq semaines environ je pus sortir; et six semaines après l'accident j'allai à l'église.
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