C'est le cœur plein de joie et d'une profonde reconnaissance que je désire attester le pouvoir réparateur et curatif de la Science Chrétienne, ainsi que les autres bienfaits dont je lui suis redevable.
Lorsqu'en mars 1925, on m'opéra d'un cancer abdominal, je ne connaissais pas du tout cette magnifique religion qui guérit et sanctifie. J'avais espéré que l'opération me guérirait, mais cet espoir fut déçu. On m'expliqua que le mal était incurable parce que j'étais venue beaucoup trop tard. Après m'être encore fait traiter en médecine pendant presque une année, je demandai si je pourrais guérir, mais on me fit cette réponse décourageante: « Pas selon les perspectives humaines. » Après cette réplique accablante, je rentrai à la maison et cessai d'aller chez le docteur.
Ma détresse était grande, mais Dieu, l'Amour divin, était encore bien plus grand. Je fus conduite auprès d'une famille qui attira mon attention sur la Science Chrétienne et me prêta un exemplaire allemand du Héraut. Plus je lisais dans ce périodique, plus mon joyeux espoir augmentait, et finalement je résolus de me rendre chez une praticienne. Dès le premier traitement, elle m'expliqua avec amour la vérité de l'être, et la puissance curative du Christ m'affranchit des souffrances que je redoutais. La transformation qui s'effectua dans mes pensées me donna l'heureuse assurance de ma guérison. La manifestation physique de la maladie disparut. La vérité m'avait été si clairement démontrée que je pus immédiatement la saisir, au moins dans une certaine mesure. Ces paroles du psaume cent trois vibraient et chantaient dans mon cœur: « Mon âme, bénis l'Éternel et n'oublie aucun de ses bienfaits! C'est lui qui pardonne toutes tes iniquités, qui guérit toutes tes infirmités. »
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