Quand j'étais un jeune enfant, mon père fut merveilleusement amené à trouver une Christian Science Sentinel dans un train, en voyageant dans un État du nord. Depuis lors, jusqu'à ce jour, notre compréhension de la Science Chrétienne s'est accrue au point que nous l'employons maintenant comme notre seul moyen de secours dans toute phase de notre vie journalière.
Étant enfant, je n'avais jamais réellement étudié la Science Chrétienne, et l'occasion de fréquenter l'école du dimanche ne m'avait jamais été donnée; mais ma mère me guidait et me secourait constamment. Pendant ce temps-là, les soins les plus affectueux m'étaient accordés. Au cours d'un violent orage, je dus éloigner les bestiaux des clôtures afin de les empêcher d'être foudroyés. Avec mes camarades de jeux, je traversais de dangereux troupeaux de bestiaux et allais au bord des rivières où il y avait des serpents venimeux — toujours intact et protégé.
A l'âge de douze ans, je dus me mettre en contact encore plus proche avec la Science Chrétienne. En jouant avec quelques enfants dans une ville voisine, je fis en tombant d'un arbre une chute d'environ vingt pieds et me cognai la jambe gauche sur une racine protubérante. Dans ma chute, je répétai ces lignes de la page 494 de Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy: “L'Amour divin a toujours répondu à tout besoin humain, et y répondra toujours.” Avec cette pensée bénie me vint l'idée de lever les bras, et je le fis. Ma jambe gauche, en cognant la racine, se fractura entre le genou et la hanche. On appela ma mère, demanda du secours à un praticien et pria les médecins de rebouter la jambe. Ayant essayé quatre fois sans succès, ils résolurent donc de m'opérer et de mettre sur l'os une griffe d'acier. Une fois fait, neuf jours après, un grave empoisonnement du sang se déclara. J'en avertis ma mère qui m'emmena à la maison. Quand je quittai l'hôpital, les docteurs dirent que jamais de ma vie je ne pourrais faire un pas de plus. Après avoir profondément étudié Science et Santé pendant quatre mois, et grâce à l'aide de ma mère, de ma sœur, d'un praticien et d'un cher ami, je pus quitter le lit. Aujourd'hui, je suis un jeune homme robuste, en bonne santé, et je peux faire n'importe quel travail à la ferme.
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