Je ne puis exprimer même en partie ma gratitude envers l'Amour divin, qui confère chaque jour tant de bien, et qui m'a conduite à cet enseignement “que chacun peut comprendre et mettre en pratique,” comme le dit Mrs. Eddy, à la page 98 de Science et Santé avec la Clef des Écritures.
Quand je vins à la Science Chrétienne, on me dit que je pouvais être aidée, bien que le secours médical n'eût servi à rien. Notre assiduité aux services de la Science Chrétienne et notre étude des périodiques de la Science Chrétienne, produisirent un grand changement dans notre mode de penser. Nous avions cru précédemment que Dieu envoyait toutes nos souffrances et que nous devrions les supporter patiemment. Or, nous apprîmes que Dieu n'a pour nous tous que de l'amour, et qu'Il délivre du péché, de la maladie et de la pauvreté. Ce fut comme si la lumière avait soudain pénétré dans notre conscience. Un peu plus tard, je fus libérée d'un mal d'estomac dont je souffrais depuis mon enfance. Dès lors — il y a au moins dix ans de cela — nous avons eu d'innombrables preuves du secours toujours présent de Dieu, en temps de maladie et lorsque les ressources manquaient. La vérité m'a rapidement guérie de calvitie et de la grippe.
La bonté de Dieu s'est souvent manifestée aussi envers notre petit garçon. Il a été guéri de la rougeole en deux jours. Il eut une fois un très fort épanchement de sang au globe de l'œil, car il s'était blessé en tombant sur des fils de fer barbelés. Nous nous attachâmes à la vérité selon laquelle l'enfant de Dieu ne peut être blessé. Quelques minutes après, l'épanchement cessa. La marque faite à l'œil était encore visible, mais elle disparut également bien vite. Un jour, l'enfant se plaignit d'une douleur à la rotule. Il pouvait à peine se tenir debout, ayant le genou tout à fait raide. Deux semaines environ s'écoulèrent sans que les choses eussent changé. Nous fûmes obligés de persévérer dans la vérité, sachant fort bien que l'erreur ne peut lui résister. Un matin, l'enfant s'éveilla et dit: “Maman, tu n'as pas l'air de voir ce que je fais.” Il pouvait remuer ce genou aussi bien que l'autre: il était guéri.
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