Dans bien des cas la lecture des témoignages de nos périodiques m'a encouragé...

Dans bien des cas la lecture des témoignages de nos périodiques m'a encouragé et m'a fait comprendre la vérité qui guérit. Un ardent désir d'aider autrui comme j'ai été moi-même secouru, et une sincère gratitude pour ma faible compréhension de la Science Chrétienne, me poussent à donner ce témoignage tardif.

Dans ma propre expérience, la mise en pratique de la Science Chrétienne a vaincu de nombreux désordres, tant mentaux que physiques, parmi lesquels le désappointement, la propre-dépréciation, la mélancolie, le manque de ressources, la malaria chronique et aiguë, des rhumes et plusieurs autres états discordants. Depuis que j'ai entrepris l'étude de la Science Chrétienne, le désir de fumer et de prendre des boissons alcooliques m'a complètement quitté sans aucun traitement spécial. En outre le travail d'un dentiste ne m'a point fait souffrir, et la chirurgie mentale s'est montrée efficace en ce qui me concerne.

Cette dernière guérison qui se produisit quand j'étais au collège il y a quelques années, dénote clairement l'efficacité du penser juste. Je m'étais fracturé la clavicule en jouant au rugby. Deux médecins s'occupèrent de moi, remboîtèrent l'os, dirent de rester au lit, et déclarèrent qu'il faudrait probablement plusieurs semaines pour que l'os se guérît. Le traitement par Science Chrétienne fut alors demandé à un praticien dont le nom figure dans le Journal, et habitant une autre ville. L'accident survint le lundi après-midi. Le lundi suivant j'étais encore au lit, et l'os n'avait pas encore commencé à se souder. En réfléchissant, je compris que l'obligation de rester au lit me remplissait d'amertume. Je travaillai aussitôt contre ce ressentiment. Au bout de deux jours, je demandai qu'on m'enlevât les bandages, et je m'habillai sans peine et sans douleur. Deux semaines après l'accident, je jouais au tennis.