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Il y a environ quinze ans que j'ai commencé à m'intéresser à la Science Chrétienne.

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de février 1928


Il y a environ quinze ans que j'ai commencé à m'intéresser à la Science Chrétienne. Une amie me demanda un jour d'assister avec elle à un culte, attendu qu'elle habitait un endroit où il n'y avait pas d'église de la Science Chrétienne. Cette amie souffrait d'une maladie, et voulait avoir des renseignements sur la Science Chrétienne. J'assistai à plusieurs services et commençai à m'y intéresser, attendu que la Science Chrétienne répondait à mon ardent désir d'avoir une religion que je puisse comprendre. Je me mis à étudier le livre de texte: Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, et les autres écrits de notre Leader. J'étais spécialement reconnaissante de connaître Dieu en tant que Principe, que Vie, Vérité et Amour. Je n'ai pas eu beaucoup de maladies physiques depuis que j'ai entrepris l'étude de la Science Chrétienne, mais j'ai vu ce que j'en retirais lorsque je l'appliquais à mon mode de penser, comme préventif. Un jour, lorsque la grippe espagnole sévissait, je compris le néant de ses symptômes avant qu'elle eût le temps de m'attaquer, et je fus affranchie.

Pendant une excursion en skis que je fis dans les montagnes de la Suède avec une amie Scientiste Chrétienne, nous fûmes prises dans une terrible tempête de neige qui nous sépara de notre guide. Nous réalisâmes aussitôt la vérité, nous disant l'une à l'autre qu'il nous fallait continuer à glisser sur nos skis, nous reposant comme de petits enfants sur le Principe divin. Nous sentîmes immédiatement la protection. Il n'y avait que quelques jours que nous avions appris à nous servir d'une boussole dans nos excursions, et le matin, avant que la tempête commençât, nous avions résolu de suivre la direction que nous prenions pour glisser ce jour-là. La tempête dura douze heures, et souvent nous dûmes nous réfugier derrière de grosses pierres pour éviter un peu le vent. Alors nous y lisions l'Oraison Dominicale, et “l'exposé scientifique de l'être,” qui se trouve à la page 468 de Science et Santé.

Il y a dans ces montagnes bien des endroits dangereux à traverser, et parfois nous pouvions à peine voir à une distance de plus d'un mètre. Quand le soir arriva, nous trouvâmes une petite cabane où nous restâmes dix heures. Nous n'avions presque rien mangé depuis vingt-quatre heures, et le thermomètre marquait dix degrés centigrades au-dessous de zéro. Le lendemain matin la tempête avait cessé, et nous fûmes heureuses de constater que nous avions pris la bonne direction. Bientôt après nous arrivâmes à une maison où des gens bienveillants nous donnèrent à manger. Cette expérience n'eut pas de suites fâcheuses pour nous, et nous ne fûmes pas plus fatiguées qu'après une excursion ordinaire en skis. Des gens de sports ayant de l'expérience ne pouvaient comprendre comment nous avions fait pour en sortir saines et sauves. Le jour suivant je fis une autre excursion d'environ vingt et un milles anglais. Je sais que c'est notre compréhension de la Vérité et de l'Amour qui nous a guidées, et surtout le fait de savoir que l'homme est l'émanation de Dieu.

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