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La Vie Éternelle

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’octobre 1922


Nous voyons que, de tous temps, quelque haut qu'on puisse remonter, l'humanité s'est obstinément attachée à l'espoir d'une vie au delà de la sphère de l'existence mortelle. D'innombrables millions de gens ont cru à une vie au delà de la tombe; mais leurs idées au sujet de ce que serait cette vie ont été aussi diamétralement opposées que le sont les deux pôles, aussi divergentes que leurs poursuites du bonheur. Une foule d'autres gens ont examiné ce sujet à fond sans être arrivés à une conclusion satisfaisante, et même il y en a beaucoup qui ont abandonné le problème, le jugeant apparemment insoluble.

Mais il n'est pas impossible de résoudre l'énigme de l'existence humaine lorsqu'on a trouvé le vrai point de départ. Mary Baker Eddy n'a répondu ni à moitié, ni d'une façon incertaine, à cette question que l'on se pose depuis des siècles: “Si l'homme meurt, revivra-t-il?” Bien des années d'étude sérieuse des Écritures l'ont convaincue que, non seulement l'Homme de Galilée enseigne que la vie éternelle est une des pierres de l'angle de la religion Chrétienne, mais que lui et d'autres démontrèrent la continuité de la vie, son indépendance de l'organisation matérielle et son affranchissement de tout élément matériel dont l'apparente décomposition donnait créance à la mort.

Le récit biblique des affaires humaines est à peine entamé qu'on y fait mention d'un homme dont le penser devint si spirituel que la matière cessa d'être une réalité pour lui, et qu'il s'éleva au-dessus de son milieu matériel, c'est-à-dire qu'il en sortit. Cette belle histoire, rapportée dans le cinquième chapitre de la Genèse, décrit un homme qui “marcha. .. avec Dieu.” Combien il a dû grandir en compréhension spirituelle en contemplant sans cesse la bonté de Dieu envers les hommes! Finalement, après que bien des années de fermeté, de pureté, d'amour et de bonnes actions l'eurent transformé, au point que sa présence humaine était, sans doute, devenue une bénédiction bénigne, Hénoc renonça complètement à sa croyance à la mortalité et disparut à la vue humaine: “Hénoc marcha donc avec Dieu, puis il disparut, car Dieu le prit.” Sa conscience fut si pénétrée de bien, d'amour, de vérité, de vie, qu'il ne restait plus de place pour les croyances mortelles. Il s'était élevé au-dessus d'elles.

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