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Avant d'embrasser la Science Chrétienne, je souffrais continuellement de ce...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’octobre 1922


Avant d'embrasser la Science Chrétienne, je souffrais continuellement de ce que les médecins appellent un ulcère de l'estomac; et pendant plusieurs années je reçus les soins assidus des meilleurs spécialistes. On m'assura que mon mal était incurable; mais qu'il me serait possible, aussi longtemps que je vivrais, de jouir d'un bien-être relatif, pouvru que j'obéisse strictement aux ordonnances du médecin. Je souffrais aussi de violents maux de tête, qui, suivant les docteurs, provenaient de l'était de mon estomac. A l'époque où je décidai d'essayer de la Science Chrétienne, je prenais de trois à cinq doses de médecine par jour. Depuis cinq ans, je ne pouvais aller à la selle sans médicament ou traitement local. Je n'avais recours à ces sortes de choses que sur l'ordre des médecins. C'étaient des hommes qui jouissaient d'une grande réputation dans leur profession aussi bien qu'en dehors; et je crois qu'ils étaient consciencieux en tout ce qu'ils me prescrivaient. Je crois qu'à leur point de vue, j'étais dans un état quasiment désespéré.

Mon premier pas dans la Science Chrétienne fut de demander traitement; et rendez-vous me fut donné pour quatre heures vingt de l'après-midi. Je quittai le bureau du praticien sur les cinq heures, complètement guéri de toutes ces difficultés. Je n'ai jamais pris une dose de médecine depuis; et les maux de tête sont choses du passé. Voilà environ huit ans que s'opéra cette guérison.

Ce n'est pas cela, cependant, qui me détermina à adopter la Science Chrétienne. Conjointement avec le mal d'estomac j'avais aussi souffert, suivant les docteurs, d'un cancer du nez. Pour cette maladie, j'avais été traité par deux autres spécialistes appartenant à cette branche de la médecine. Je n'en reçus aucun soulagement. C'est ce qui, à ce moment-là, me décida à demander l'aide de la Science Chrétienne. Pour une raison quelconque, les traitements du premier praticien ne me guérirent pas de ce cancer quoique j'eusse été instantanément guéri de l'ulcération de l'estomac lors du premier traitement.

Ce praticien m'offrit volontairement le conseil d'aller en voir un autre; ce que je fis. Cette maladie se montra très opiniâtre et me plaça dans un grand nombre de situations très pénibles. Je fus néanmoins complètement guéri. En aucune circonstance je n'employai plus l'ombre de remède matériel pour ma guérison, à partir du jour où, pour la première fois, je demandai le traitement de la Science Chrétienne.

Il n'est pas facile d'exprimer par des paroles humaines ma gratitude pour ces manifestations du pouvoir guérisseur de l'Entendement divin, et pour le fait que, non seulement Dieu a le pouvoir de guérir, mais qu'Il a guéri. Je suis également reconnaissant de ce que la force me fut donnée de “demeurer ferme” au moment décisif, alors que, selon le sens humain, tout semblait perdu, et qu'une influence inexprimable cherchait à me ramener de la Science Chrétienne aux remèdes matériels. Des inconnus induits en erreur m'arrêtaient en chemin et me suggéraient des remèdes; des amis me donnaient gentillement des conseils; les membres de ma famille me suppliaient vivement; et mes confrères insistaient. Le fait que j'ai maintenu ma position au milieu de toutes ces circonstances difficiles est une démonstration de plus de l'omniprésence de l'Amour.

Je sens que je manquerais à mon devoir si, touchant ce sujet, je ne proclamais pas ma reconnaissance pour le ferme appui de ma femme, qui ne varia pas une seule fois dans son attitude d'espérance et d'encouragement, ni dans son affectueuse persistance à me rappeler la présence de Dieu en tous mes désirs honnêtes. Qu'il me soit aussi permis d'exprimer mon appréciation reconnaissante de toutes ces qualités qu'a manifestées Mary Baker Eddy et qui, pour ceux qui se prévalent de ses merveilleux enseignements, l'ont constituée la consolation qu'elle est. Ma gratitude envers le praticien est connue, et je préfère la vivre que d'en parler — voire même, d'essayer de le faire.

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