C’est toujours avec joie que je rends témoignage de l’efficace curative de la Science Chrétienne, car je suis désireuse de donner aux autres le bien que j’ai reçu moi-même afin d’aider à quiconque est à la recherche de la santé et du bonheur. C’est grâce à l’étude constante et fervente de la Bible et de notre livre de texte “Science et Santé avec la Clef des Écritures” par Mary Baker Eddy, que ces bienfaits m’ont été révélés.
Il y a environ huit ans je m’adressai à la Science Chrétienne lorsque je ne trouvais plus de consolation dans aucune possession matérielle, et lorsque j’étais en proie à la peine et à la souffrance. J’avais souvent entendu parler de cet enseignement, mais je ne m’y intéressais nullement, vu que mon mari était pharmacien. Cependant lorsque je vis que les remèdes matériels ne m’aidaient pas, il me vint à l’idée d’investiguer les revendications faites par mes amis qui étaient dans la Science Chrétienne, et il en résulta que je fus guérie de troubles d’estomac et de la vésicule biliaire dont j’avais souffert pendant huit ans, et pour lesquels un des médecins les mieux connus de Chicago avait recommandé une opération, ce à quoi je ne voulus pas consentir. Avec l’aide d’une praticienne dévouée j’ai été complètement guérie de cette douleur. L’application de cette vérité démontrable m’a aussi guérie d’un mal à la jambe. La plaie que j’avais à la cheville était de la grandeur d’une pièce de dix centimes. Nous avons eu bien d’autres magnifiques guérisons dans notre famille. Un de mes fils fut mordu par un chien, et sa main enfla et fut empoisonnée, mais elle fut guérie en fort peu de temps.
Au moment où je perdis quelqu’un qui m’était très cher je fus merveilleusement soutenue par la compréhension que dans l’Esprit, Dieu, il n’y a pas de séparation ni de perte. Je ne saurais exprimer en paroles ce que cette expérience m’a valu; j’entendis pour la première fois le son doux et subtil de la Vérité, me disant de mettre en pratique le peu de compréhension que j’avais. Alors je sus que j’avais appris à connaître un Dieu qui est Amour, et qu’il n’était pas nécessaire que je l’implore, qu’il est toujours prêt à écouter.
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