
Editoriaux
Là où il y a de la vie, il y a de l’action, un mouvement mental. Et quand nous nous rendons compte que la vie véritable commence avec la Vie divine, ou Dieu, ainsi que la Science Chrétienne Christian Science: Prononcer ’kristienn ’saïennce.
La religion du Scientiste Chrétien lui enseigne à se rebeller contre la souffrance, la maladie et les infirmités. Il ne les accepte pas en tant que réalités, et il ne les considère pas non plus comme provenant de Dieu.
Qu’est-ce qui est réellement présent ici même et maintenant ? Est-ce la maladie ou la santé ? Est-ce le manque ou l’abondance ? Est-ce la tristesse ou la joie ? De telles questions se présentent à chaque étudiant de la Science Chrétienne lorsqu’il se trouve tenté par une forme quelconque d’inharmonie. Par exemple, il se peut que les sens physiques clament que la maladie est présente et qu’elle est à l’œuvre.
L’expérience humaine semble très souvent chargée de conflits et de frictions personnelles ainsi que du tumulte émotif qui les accompagne. Même celui qui paraît être le vainqueur d’une querelle ou d’une lutte est rarement tout à fait dégagé de la suggestion sournoise que la victoire peut encore lui échapper, alors que son opposant, tourmenté par le sens de défaite imminente, devient de plus en plus péremptoire tandis qu’il emploie tous les moyens de l’entendement humain pour résister aux arguments de son adversaire, et en faire ainsi à sa guise.
La tendance à s’accrocher tenacement à de vieilles habitudes de penser, de vieilles façons de faire les choses, simplement parce qu’elles sont familières, constitue l’une des caractéristiques restrictives de l’entendement humain. Cette attitude mentale se dérobe devant les bouleversements que provoquent parfois des idées, des activités nouvelles ou le fait de se trouver dans un milieu différent.
On considère généralement le courage en tant que la volonté et l’energie que l’on déploie en s’aventurant, en bravant le danger et la peur. Et bien qu’il soit également reconnu que pour vaincre la peur il faut cultiver le courage, souvent les gens entendent simplement par ce terme la confiance en soi qui s’appuie sur la force et sur l’habileté physiques ou sur une inclination irraisonnée à commettre des actes d’une témérité excessive.
Le but de l’Église est de servir l’humanité. Dans la mesure où l’Église a abandonné ce rôle de servante pour un concept autoritaire et ritualiste d’elle-même, elle a perdu de vue la fonction pour laquelle Christ Jésus l’avait établie.
A deux reprises différentes, la bénédiction: « Celui-ci est mon Fils bien-aimé » Matth. 3:17 et 17:5; fut entendue distinctement par ceux qui entouraient Christ Jésus.
Au cours de leur vie, les hommes semblent osciller de droite à gauche entre l'impulsion libératrice de la foi qui les dirige et les pousse à avancer, et l'effet entravant de la crainte qui les trouble et quelquefois les paralyse et les frustre. Est-il inévitable ce va-et-vient entre la progression et la rétrogression, entre l'espoir qui nous donne des ailes et l'hésitation déprimante ? La Science Chrétienne répond qu'il n'est pas inévitable, car il est tout à fait inutile et sera prouvé tel lorsque, tant l'origine et le manque de fondement de la crainte, que la véritable nature de la foi scientifique, seront compris.
Qu'est-ce qui peut prédire l'avenir de l'humanité ? Sera-ce la croyance matérielle basée sur les sciences naturelles ou bien la prophétie biblique basée sur les révélations de la Vérité divine ? Dans le domaine de la biologie, de la psychologie, de la technologie et de la thérapeutique on prédit à l'heure actuelle des progrès considérables. Selon ces prédictions, les humains seront à même de contrôler le milieu où ils vivent et de guider consciemment leur évolution future.