Il y a quelques années, un homme politique de premier plan a commis un acte que j’ai jugé répréhensible. Chaque fois que je pensais à ce qu’il faisait, que je le voyais à la télévision ou que je lisais des articles à son sujet, j’étais très en colère. (Et comme on parlait beaucoup de lui dans les médias, j’étais en colère la plupart du temps !)
Après plusieurs mois passés sans décolérer, j’ai ressenti comme un tiraillement en moi, une douce mais pressante incitation à guérir de ce sentiment. Cet homme politique avait peut-être fait des choses avec lesquelles j’étais en désaccord, mais me laisser aller à la colère était une décision que j’avais prise seule.
Ayant constaté depuis longtemps que suivre l’exemple de Jésus est utile et apporte la guérison, je me suis dit que ce n’était pas ainsi qu’il traitait ce genre de situation. L’amour qu’il exprimait était naturel, il n’avait rien de forcé, ne montrait aucune réticence. C’était la conséquence de son obéissance à un Dieu bon et aimant, et du fait qu’il laissait l’amour divin résoudre les situations peu harmonieuses.
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