Je participais à un match de rugby universitaire quand je suis entrée en collision avec l’une des filles de l’équipe adverse en voulant attraper le ballon. J’ai entendu un grand craquement dans mon nez. Il a enflé et saigné abondamment, ce qui semblait indiquer qu’il était cassé.
Voyant qu’un os avait percé la peau, le médecin de l’équipe m’a dit : « Il va falloir réduire la fracture de ton nez. » Mes coéquipières sur la touche m’ont dit que ce n’était pas beau à voir. Troublée par ces réactions, j’étais persuadée que mon nez ne serait plus jamais le même.
Mes parents, qui sont tous deux scientistes chrétiens, avaient assisté au match. Il se sont mis à prier silencieusement pour moi dès que l’incident s’est produit. Ils m’ont demandé si je voulais faire appel à la chirurgie, et j’ai dit oui.