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Guérison d’une blessure au genou

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’avril 2019

Publié à l’origine dans le Christian Science Sentinel du 31 janvier 2019.


Dans l’Evangile selon Jean, Christ Jésus déclare à ses disciples : « Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples ; vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira. » (8:31, 32) 

Je me souviens de la première fois où j’ai pu moi-même démontrer cette promesse biblique. Je jouais dans un match de football. Alors que je courais pour rattraper le ballon qui avait franchi la ligne de touche, j’ai heurté les vieilles traverses de chemin de fer en bois placées tout le long du terrain, qui servaient de sièges au public. Je me suis fait une profonde entaille au genou ; je souffrais horriblement. Mes amis sont venus m’aider, et je leur ai dit que je retournais au vestiaire. En quittant le terrain, je me suis demandé ce que j’allais faire dans ce vestiaire. « Prier ! » Telle a été ma réponse. Mon expérience de scientiste chrétien m’avait appris à m’appuyer sur la compréhension de ma véritable identité, celle de l’enfant ou reflet spirituel de Dieu.

Une phrase du livre d’étude de la Science Chrétienne, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, m’est venue à l’esprit. Ce livre a été écrit par la découvreuse et fondatrice de la Science Chrétienne, Mary Baker Eddy. Il s’agissait de la première ligne de ce que l’auteur appelle « l’exposé scientifique de l’être » : « Il n’y a ni vie, ni vérité, ni intelligence, ni substance dans la matière. » (p. 468) Je pouvais reconnaître la véracité de cet énoncé du fait de la présence infinie, toute-puissante, de Dieu, qui excluait les maux de la chair. Ma vraie vie était en Dieu, Esprit, non dans la matière. Et puisque Dieu était la seule intelligence, comment mon corps matériel pouvait-il me dire quelque chose ? Les seules informations que je pouvais reconnaître comme vraies provenaient des pensées émanant de notre Père céleste. Le Dieu suprême et unique ne conçoit que le bien pour Sa création bien-aimée. Il ne pouvait pas, ne voulait pas et n’avait pas créé un mortel qui souffrait.

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