J'en étais arrivée au point où je ne voulais même plus aller à l'église. Face au défi d'un immense bâtiment presque vide, nos membres se disputaient de plus en plus fréquemment. Il semblait impossible de nous mettre d'accord sur les moyens d'attirer plus de visiteurs à nos services. Les réunions de comités étaient désagréables, et les frictions commençaient à s'étendre aussi aux services de l'église. Parfois, certains étaient si troublés qu'ils cessaient de venir à l'église pendant des semaines. Et cela contribuait d'autant plus à réduire l'assistance. Le point culminant est venu après une réunion particulièrement houleuse, quand trois membres du conseil de l'église ont démissionné. Maintenant, nous avions encore moins de membres ! Et plutôt que d'être régénérée par l'église, j'en repartais totalement déprimée.
À peu près à cette époque, je me suis déchirée un ligament à la jambe. Mon genou s'est tant enflé et irrité que j'étais incapable de bouger. Je me suis retrouvée totalement handicapée, incapable de sortir du lit. Je me suis tournée vers la prière comme je le fais habituellement quand quelque chose dans ma vie a besoin d'être guéri afin de devenir de plus en plus consciente de mon unité avec Dieu, avec la Vérité et l'Amour infinis.
Puis j'ai ouvert Science et Santé et je suis tombée sur la définition spirituelle de l'Église de Mary Baker Eddy: « La structure de la Vérité et de l'Amour; tout ce qui repose sur le Principe divin et en procède.» (p. 583)
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