Il y a peu, en me mettant à genoux pour retrouver un objet qui avait roulé sous le canapé, j’ai éprouvé une immense reconnaissance: trois ans auparavant, j’étais dans une immobilité presque totale. Cela m’a fait comprendre qu’il était grand temps de témoigner de cette merveilleuse guérison.
Au cours de l’été 2006, je me suis aperçue que j’éprouvais parfois des difficultés dans des activités physiques normales. Sur le moment, je n’ai pas accordé à ces symptômes l’attention métaphysique qu’ils méritaient et je n’ai pas prié à ce sujet. Lorsque Noël est arrivé, je me déplaçais avec difficulté et mes muscles avaient perdu leur force. Ma mobilité était devenue tellement limitée que je n’étais plus capable d’aller travailler. Mon mari, Andy, a bientôt dû s’occuper de moi, notamment pour m’aider à faire ma toilette et à m’habiller. Il a donc réduit sa charge de travail, et il lui arrivait même de quitter son bureau pour « raison de famille ». Mes parents, qui vivent dans la même maison que nous, veillaient également à ce que je ne manque de rien.
Scientiste chrétienne depuis toujours, je priais avec ferveur concernant cette situation. Dans mes prières, je rejetais les symptômes physiques comme étant une représentation déformée de mon être, et je m’imprégnais des vérités spirituelles de l’Amour divin au sujet de mon identité en tant que création parfaite de Dieu. Comme l’écrit Mary Baker Eddy dans Science et Santé: « Jésus voyait dans la Science l’homme parfait, qui lui apparaissait là où l’homme mortel pécheur apparaît aux mortels. En cet homme parfait le Sauveur voyait la ressemblance même de Dieu, et cette vue correcte de l’homme guérissait les malades. (p. 476-477)
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