Skip to main content Skip to search Skip to header Skip to footer

GUÉRISON DE LA GRIPPE A (H1N1) APRÈS DIAGNOSTIC MÉDICAL

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de janvier 2010


L’année dernière, un diagnostic médical a établi que j’avais la grippe H1N1. En rentrant chez moi après la consultation, je me suis sentie assez confiante pour souhaiter être guérie par la Science Chrétienne.

L’hiver précédent, un ami m’avait fait connaître la Science Chrétienne et j’avais commencé à m’y intéresser. Depuis, j’avais obtenu des guérisons par la prière, aussi la décision de chercher à nouveau à guérir de cette manière m’a-t-elle paru juste.

Durant presque toute la nuit, j’ai lutté contre les symptômes de la grippe, en priant dans mon lit pour sentir la plénitude de l’amour de Dieu. Mais je n’étais toujours pas rassurée. Aussi le lendemain matin, j’ai passé un certain temps au téléphone avec une praticienne de la Science Chrétienne. Elle m’a aidée à opposer à mes craintes le fait spirituel absolu que j’étais le reflet de Dieu. Nous avons discuté à partir d’exemples et d’illustrations que je pouvais comprendre et méditer.

C’était intéressant d’entendre la praticienne me dire que Dieu est comme le soleil (la source) dont nous sommes les rayons. De même que les nuages noirs ne peuvent changer la nature des rayons, nous ne pouvons être changés ni atteints par quoi que ce soit de dissemblable à Dieu, parce que Dieu est bon. D’autre part, si l’on est dans un studio de danse et que l’on regarde les danseurs dans le miroir, on sait pertinemment que ce n’est pas leur reflet qui travaille. Nous sommes le reflet de Dieu. On lit dans Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mary Baker Eddy: « Dieu Se repose dans l’action. » (p. 519) J’ai aimé cette idée parce qu’elle m’a fait comprendre que Dieu est à l’origine du mouvement et de l’action. Je pouvais me reposer sur le fait que Dieu est l’œuvre.

J’ai passé les heures suivantes à lire la Bible et Science et Santé. L’idée que Dieu est synonyme d’Amour, de Vie, de bien, de Vérité, etc., imprégnait peu à peu mes pensées, et cela m’a permis de comprendre que le péché, la maladie et la mort ne viennent pas de Dieu, et que par conséquent ce sont mes ennemis, et qu’ils n’ont pas à être acceptés.

Cela m’a guidée vers le Psaume 23 dans lequel David écrit: « Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi. » (verset 4) J’ai compris que Dieu me conduit dans les sentiers de la bonté, de la justice, de la paix et de la joie, des sentiers pleins de vie et d’amour. Lorsque je marche dans une « vallée », ce n’est pas Dieu qui m’y a menée, mais Il est toujours à mes côtés pour me guider et me réconforter, et je trouve le chemin pour en sortir.

J’ai compris que « la vallée de l’ombre de la mort » indique que la mort et ses « laquais », la maladie et la crainte, sont des ombres, de prétendus obstacles à la lumière, à la vérité concernant mon être spirituel immortel. Mais une ombre n’est pas réelle: elle n’a pas de substance. C’est juste la projection de quelque chose qui se trouve placé devant les rayons de soleil.

J’ai poursuivi ma lecture jusqu’à cet autre passage du psaume: « Tu dresses devant moi une table, en face de mes adversaires. » (verset 5) À mes yeux, cela signifiait qu’un festin d’amour avait été préparé pour moi, là même où la maladie semblait avoir une emprise. Ma vie déborde de bonnes choses, résultant de la bonté absolue de l’Amour divin.

J’ai continué d’étudier ce psaume, et le verset suivant m’a également inspirée: « Oui, le bonheur et la grâce m’accompagneront tous les jours de ma vie, et j’habiterai dans la maison de l’Éternel pour toujours. » (verset 6; d’après la Bible version King James) J’avais toujours pensé que « pour toujours jours » renvoyait à la vie après la mort, menant à l’éternité. Autrement dit, un « pour toujours » futur. Mais j’ai soudain compris que « pour toujours » se substitue au temps et inclut « maintenant ». Pour toujours comprend tout à la fois le passé, le présent et le futur.

J’ai alors pensé que si cette définition était vraie, j’habitais maintenant même dans la maison de l’Éternel! Si j’habite vraiment dans la maison de l’Éternel, ma conscience demeure toujours avec Ses pensées, et Il est l’Entendement divin.

Si mes pensées demeurent vraiment avec Dieu, tout ce qui Lui est dissemblable va disparaître. Quelle que soit leur insistance, les croyances générales concernant la contagion n’ont pas à nous affecter, ni moi ni personne, parce qu’elles n’ont pas de pouvoir réel et ne reposent pas sur un fondement établi par Dieu.

Tandis que j’orientais mes pensées vers ces idées, j’ai senti que la maladie commençait à perdre son emprise, laissant la place à une immense joie, un sens profond de la présence immuable de la Vérité, de la Vie et de l’Amour. Quand ce sens prodigieux de la présence de Dieu s’est imposé à ma conscience, les symptômes ont complètement disparu. Je me suis levée, j’ai mis mes chaussures de sport et je suis sortie pour aller courir plus de six kilomètres dans une zone résidentielle tranquille.

L’« ennemi » nommé crainte et maladie a été vaincu. Dieu a été et Il est toujours « ma force et le sujet de mes louanges » (Psaumes | 18:14).


Pour découvrir plus de contenu comme celui-ci, vous êtes invité à vous inscrire aux notifications hebdomadaires du Héraut. Vous recevrez des articles, des enregistrements audio et des annonces directement par WhatsApp ou par e-mail. 

S’inscrire

Plus DANS CE NUMÉRO / janvier 2010

La mission du Héraut

« ... proclamer l’activité et l’accessibilité universelles de la Vérité toujours disponible... »

                                                                                                                                 Mary Baker Eddy

En savoir plus sur le Héraut et sa mission.