La Christian Science m'a été présentée il y a quatre ans par l'homme qui est maintenant mon mari. A l'époque, je n'étais pas croyante, je ne possédais pas de Bible et, d'ailleurs, je la connaissais très mal. J'avais exploré diverses religions et philosophies au cours des années, mais j'avais toujours eu le sentiment qu'il manquait quelque chose. J'ai essayé le tarot, j'ai rendu visite à des voyantes et autres médiums, à la recherche de réponses à des questions que j'aurais sans doute été incapable d'énoncer clairement.
Mon mari avait fréquenté l'école du dimanche jusqu'à l'âge de dix-huit ans environ, mais en s'éloignant de chez ses parents, il s'était aussi éloigné de la Christian Science. Au moment où nous nous sommes rencontrés, il venait de reprendre l'étude quotidienne de la leçon biblique, indiquée dans le Livret trimestriel de la Christian Science. Il s'efforçait de revenir à ce qu'il savait être, au fond de lui, le meilleur style de vie. Quand je lui ai fait part de ma curiosité à ce sujet, il a été heureux de m'en parler. J'ai décidé de lire le livre d'étude, Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mary Baker Eddy, de bout en bout. Après avoir lu quelques pages, je ne pouvais plus le lâcher ! Il me parlait comme jamais rien d'autre ne l'avait fait. Après trois mois de cette lecture, je me suis aperçue que je n'avais pas eu une seule migraine durant tout ce temps et j'ai alors su que je n'en aurais plus. Je souffrais de ces terribles maux de tête depuis l'âge de dix ans, et pendant les deux années qui avaient précédé ma découverte de Science et Santé, ils survenaient une ou deux fois par mois.
Pendant des années, j'avais eu des moments de dépression extrême où je pensais même à me suicider. Selon le diagnostic médical, cet état avait une cause hormonale, et comme j'avais horreur des médicaments, je prenais des remèdes « naturels » à large dose. J'ai alors jeté tous ces remèdes. Désormais, nous nous appuyons avec confiance sur la prière scientifique et chrétienne pour trouver la guérison. Je savais que j'avais eu un aperçu de la vérité, et que le peu que je comprenais en prouvait l'existence. J'ai commencé à fréquenter une salle de lecture de la Christian Science, et j'étais toujours accueillie avec chaleur et amour par le bibliothécaire de service.
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