Tout comme j'avais prié pour éliminer la pensée qu'un mal de tête avait le pouvoir de me dominer, je pouvais maintenant prier pour éliminer la pensée que j'étais à la merci d'une chute sur la glace. C'est à cela que je réfléchissais lorsque je suis arrivée chez moi. Je me suis assise pour prier, en affirmant que l'harmonie est la loi de Dieu, et que c'était par cette loi que j'étais régie, et par aucune autre. J'avais prié de cette façon à propos d'un mal de tête jusqu'à ce qu'il disparaisse. C'était ce dont je me rappelais l'après-midi où j'ai fait une mauvaise chute sur la glace.
J'étais tombée sur le dos, et dès que je m'étais ressaisie, la pensée que l'homme n'est pas déchu de son état élevé m'était immédiatement venue à l'esprit. En même temps je m'étais souvenue du Premier Commandement, c'est-à-dire que je n'avais pas à reconnaître d'autre pouvoir que celui de Dieu, le bien. Une grande joie avait rempli ma conscience. En fait, je m'étais aperçue avec surprise que j'étais vraiment en train de me réjouir d'avoir l'occasion de prouver la réalité de l'Esprit et l'irréalité de l'argument selon lequel les accidents, la douleur et la crainte sont réels.
J'avais réussi à me relever, bien qu'avec peine. Je sentais que Dieu était partout, une pensée que j'avais méditée plus tôt dans la journée.
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