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La Science Chrétienne a...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de mars 1996


La Science Chrétienne a été une véritable bénédiction dans ma vie ! Chaque guérison qui s'accompagne d'une découverte plus profonde de mon être spirituel rend plus évident à mes yeux le fait que Dieu prend soin de nous et nous gouverne avec amour.

Un jour, alors que j'étais en train de faire ma toilette, j'ai remarqué une petite grosseur à la nuque. Cela ne m'a pas trop inquiétée, et je me suis mise à prier par intermittence à ce sujet. Avec le temps, cependant, la grosseur a pris de l'importance. Je n'avais pas mal, mais je me suis rendu compte que je devais cesser de me poser des questions sur le pourquoi et le comment de ce symptôme physique, car cela ne m'apportait aucune réponse et ne favorisait en rien la guérison. Je savais qu'il me fallait rechercher la manifestation, toujours parfaite, de la cause et de l'effet spirituels.

J'étudiais la Science Chrétienne depuis des années et je venais récemment de suivre le cours de Science Chrétienne. C'est donc avec une grande confiance que j'ai détourné ma pensée de ce mal afin d'acquérir une compréhension plus claire de ma perfection, en tant que l'expression même de l'être de Dieu.

Les jours ont passé, puis les semaines, sans que je puisse constater la moindre amélioration physique. Il m'est arrivé de verser des larmes de découragement, mais en me tournant de tout mon cœur vers Dieu, j'ai chaque fois trouvé une inspiration nouvelle.

Ces paroles de Jésus m'ont réconfortée: « Demandez, et l'on vous donnera; cherchez, et vous trouverez; frappez, et l'on vous ouvrira » (Matth. 7:7). J'avais pu constater la véracité de ce verset autrefois, et c'était devenu un roc sur lequel je pouvais m'appuyer à présent.

Bien sûr, je pouvais demander à un praticien de la Science Chrétienne de prier avec moi, mais comme je souhaitais par-dessus tout apprendre à aider les autres, je désirais obtenir une guérison en acquérant moi-même une meilleure perception spirituelle. Je disposais de tout ce qu'il fallait pour travailler: la Bible, Science et Santé et un mobile pur et juste.

J'ai parlé de ce problème à mon professeur de Science Chrétienne. Je n'oublierai jamais sa réponse, qui était à la fois très simple et très profonde: « Vous savez... c'est une illusion. » Effectivement, je savais que Dieu crée et maintient tout ce qui est réel et éternel, et que, par conséquent, tout ce qui s'oppose à Sa perfection ou l'altère ne saurait avoir la moindre vérité scientifique.

Avec une inspiration renouvelée, j'ai consacré davantage de temps à étudier les deux livres. Je me suis levée plus tôt, pour profiter du calme qui précède les activités de la journée. Voici un des passages de Science et Santé qui me mettait dans la bonne direction: « L'amour de soi est plus opaque qu'un corps solide. En obéissant patiemment à un Dieu patient, travaillons à dissoudre avec le dissolvant universel de l'Amour l'erreur adamantine — la volonté personnelle, la propre justification et l'amour de soi — qui fait la guerre à la spiritualité et qui est la loi du péché et de la mort » (p. 242).

Je me suis aperçue que je pouvais faire beaucoup plus que je ne faisais. Par exemple, aimer davantage, faire passer mes désirs personnels au second plan, et m'efforcer de mieux suivre Jésus en exprimant les qualités dont il fut l'exemple vivant.

Les Leçons bibliques que j'étudiais chaque semaine sont devenues plus claires. Un jour, j'ai lu ce passage dans la Leçon: « L'Entendement insondable est exprimé. La profondeur, l'étendue, la hauteur, la puissance, la majesté et la gloire de l'Amour infini remplissent tout l'espace. Que peut-il y avoir de plus ! » (Science et Santé, p. 520) J'ai alors eu la certitude absolue que la prière entraînerait la guérison, même si j'ignorais comment celle-ci se produirait. Absorbée par mon étude de la totalité de Dieu, de Sa perfection et de Son amour, j'ai de moins en moins pensé à la grosseur.

En promenant les chiens chaque matin, je méditais souvent un verset biblique ou un cantique. Un jour, au cours d'une de ces promenades, j'ai pensé à ces vers du cantique no 154: « Divin Esprit plein de tendresse / En Toi je suis l'enfant de Dieu. » J'ai eu une étrange sensation dans le cou, et j'ai su que la guérison physique était en cours. J'avais presque l'impression de ne plus toucher terre, tant j'étais envahie par le sentiment que Dieu m'aimait. Son amour n'avait jamais été aussi évident qu'à ce moment.

Peu de temps après, la grosseur s'est vidée, laissant une peau parfaitement lisse.

Je n'oublierai jamais cette guérison, et je chéris chaque jour ce qui l'a caractérisée, savoir la glorieuse conscience de « Dieu avec nous ».


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