Quand J'étais Petit, s'il m'arrivait rivait quelque chose de désagréable ou s'il arrivait un malheur à un ami ou à un parent, je pensais: « C'est la vie ! » C'est ce que l'on m'avait appris et je le croyais. Après tout, je n'avais pas été tellement gâté par l'existence ! Mes parents avaient divorcé quand j'avais six ans. Par la suite, ils avaient eu tous les deux de graves problèmes de santé. Les choses n'étaient faciles ni pour eux ni pour moi. Pendant mon enfance, on n'avait cessé de me répéter: « Agis de ton mieux, il n'y a rien d'autre à faire; la vie, c'est comme ça. »
Au fil des années, j'ai tâté de la drogue, de l'alcool, j'ai essayé la méditation, l'homéopathie, la visualisation créative, tout cela traduisant un effort désespéré pour trouver la vérité. Je me refusais à accepter définitivement ce tableau négatif de la vie. J'ai donc continué ma quête.
A la fin de ma première année universitaire, j'ai décidé de m'orienter vers des études de musique. Mon nouveau camarade de chambre était Scientiste Chrétien. (Je n'avais jamais entendu parler de la Science Chrétienne.) Très vite, je me suis aperçu qu'il n'était pas comme les autres: il était rarement malade et, quand cela lui arrivait, il guérissait rapidement; il était toujours gai, prêt à aider les autres et heureux de vivre; il ne fumait ni ne buvait et il étudiait, surtout le matin, deux livres qu'il laissait sur son bureau. N'avait-il donc aucun problème ?
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