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Dans Science et Santé, Mary Baker Eddy écrit: « “Toutes choses...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de septembre 1990


Dans Science et Santé, Mary Baker Eddy écrit: « “Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu”, telle est l’affirmation de l’Écriture. » Ce fait m’est apparu de plus en plus clairement après avoir commencé l’étude de la Science Chrétienne, il y a environ dix ans. Avant cela, j’étais continuellement fatiguée, irritable, déprimée et affligée de fréquents maux de tête. En outre, j’avais parfois le désir de me supprimer, je manquais de motivation et j’avais très peu d’intérêt pour la vie.

Après avoir cherché plusieurs années quelque chose qui ait un sens et sentant intuitivement que cela devait exister, je me rendis un jour dans une salle de lecture de la Science Chrétienne de mon quartier. J’y empruntai le livre Science et Santé que je commençai à lire le soir même.

Les événements se succédèrent rapidement une fois ma lecture de Science et Santé commencée: le weekend suivant, j’assistai à une conférence sur la Science Chrétienne; trois semaines plus tard, je me mis à étudier chaque jour la Leçon biblique (indiquée dans le Livret trimestriel de la Science Chrétienne); au bout de six mois, je devins membre d’une église filiale; quatre mois plus tard, j’acceptai le poste de secrétaire de l’église. Au cours de cette période, je fus guérie, grâce à l’étude de la Science Chrétienne, de la fatigue, de l’irritabilité et de la dépression dont je souffrais depuis longtemps.

Cette succession d’heureux événements fut brusquement interrompue par le décès soudain et prématuré de mon cher mari dans un accident de voiture. Mais j’étais tellement imprégnée des vérités spirituelles de l’être, tellement pénétrée du sentiment de la présence de Dieu et de Son Christ qu’en dépit du choc, je ne fus pas anéantie. Bien plutôt, j’eus le désir de mettre en pratique ce que m’avait appris mon étude de la Science Chrétienne.

Je trouvai bien des passages réconfortants que je méditai, entre autres celui-ci tiré du livre d’Ésaïe: « Ne crains rien, car je suis avec toi; ne promène pas des regards inquiets, car je suis ton Dieu; je te fortifie, je viens à ton secours, je te soutiens de ma droite triomphante. » Je découvrais l’exactitude de cet énoncé de Science et Santé,: « Les épreuves font voir la sollicitude de Dieu. »

Je continuai à assister régulièrement aux services religieux. En outre, je fus en mesure de réouvrir et de diriger le petit restaurant de mon mari, sans avoir aucune connaissance préalable quant à la manière de conduire ces affaires. Je pus aussi vendre ce restaurant après sa réouverture.

Avant d’entreprendre l’étude de la Science Chrétienne, j’avais travaillé bénévolement dans un hôpital. Au début, je n’avais pas voulu abandonner cette activité. Quand la directrice de la bibliothèque de l’hôpital, sous les ordres de qui je travaillais, apprit le décès de mon mari, elle m’offrit un poste rémunéré d’aide-bibliothécaire. J’acceptai, croyant naïvement que le fait de travailler pour un hôpital ne causerait pas de conflit avec la religion que je venais d’adopter. A cette époque, j’avais une tumeur qui semblait à un stade avancé.

Quand les résultats des examens médicaux me furent présentés, je compris nettement que je n’avais pas à accepter ce mal comme faisant partie de l’homme créé par Dieu, ma nature spirituelle réelle. Je refusai de consulter un chirurgien comme me le recommandaient les docteurs et je signai une déclaration précisant que je ne voulais pas être traitée. A la suite de cela, mon emploi me fut refusé. (J’appris par la suite que les docteurs avaient prédit que, le mal ayant atteint sa phase terminale, j’en avais pour moins d’un an à vivre si je ne recevais pas de soins médicaux.)

En dépit de cette seconde tournure inattendue des événements, je ne fus pas arrêtée dans mes progrès en Science Chrétienne. Au lieu de cela, j’approfondis ma compréhension de cette Science. Bien que le mal diagnostiqué par les docteurs n’ait pas empiré, les symptômes physiques étaient encore évidents. Il me parut donc sage, à un moment donné, de demander de l’aide à une praticienne de la Science Chrétienne.

Au bout de quelques jours seulement, j’eus le sentiment très net que la guérison était en train de s’opérer, bien que les manifestations physiques du mal fussent encore visibles. J’en informai la praticienne et la remerciai de son aide. Peu de temps après, tous les symptômes avaient disparu et la guérison était compète. Je me rappelle avoir prié, pendant ces quelques jours, afin d’affermir mon amour pour Dieu et pour l’homme, y compris pour moi-même.

Dix ans se sont écoulés. A un moment donné, je suivis le cours de formation d’aide-nurse dans un établissement de soins pour Scientistes Chrétiens des environs. Après avoir travaillé six mois comme aide-nurse, j’acceptai un poste de secrétaire dans le même établissement. Pendant cette période, j’assurai aussi, pendant trois ans, les fonctions de Première Lectrice dans une église filiale. Je suis aussi reconnaissante d’avoir suivi le cours de Science Chrétienne.

Tout ce qui précède — ainsi que l’immense amélioration de mon attitude envers la vie et les merveilleux aperçus de la présence constante de Dieu — m’ont bien prouvé que « toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein » (Romains).


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