J’ai été élevée dans une religion qui n’appartient pas au christianisme. En grandissant, j’ai cessé de faire mes prières, parce que je ne comprenais pas les phrases qu’on m’avait fait apprendre par cœur. Mais chaque jour, je priais quand même, à ma façon. J’ai continué à le faire jusqu’à l’âge de trente-cinq ans environ.
Puis un jour, je suis tombée très malade. Les médecins ont diagnostiqué un cancer, à un stade avancé. On m’a opérée deux fois et j’ai subi de nombreux traitements par les rayons, mais sans résultat. Les docteurs ont prévenu mon mari et mes parents de la gravité de mon état, en précisant que je ne pouvais espérer vivre encore plus de sept ans.
C’est à ce moment-là qu’une de mes belles-sœurs a commencé à s’intéresser à la Science Chrétienne et m’a rendu visite tous les jours pour me parler de la merveilleuse religion qu’elle avait trouvée. Ses propos et ses explications ne m’intéressaient pas du tout. Un jour, cependant, j’ai pensé couper court à toutes ces paroles en lui demandant de me procurer un livre sur la Science Chrétienne pour que je puisse étudier par moi-même. Ma belle-sœur était ravie et, le lendemain, elle me donnait le livre Science et Santé de Mary Baker Eddy.
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