J'ai eu beaucoup, beaucoup de guérisons pendant les cinquante dernières années et j'aimerais faire part de certaines qui sont récentes.
Je me suis réveillée un matin avec des crampes abdominales et de la diarrhée. Cela a duré plusieurs jours en s'aggravant. Je ne pouvais pas garder de nourriture. Je décidai de demander de l'aide par la prière à une praticienne de la Science Chrétienne.
Lorsque j'ai appelé, la praticienne a fait remarquer que nous avons beau voir sans cesse des images de maladie — comme celles que diffuse la télévision — en réalité, l'homme est toujours l'image et la ressemblance de Dieu, spirituelle et non matérielle. J'ai vu clairement ce qu'elle disait, je l'ai compris et j'ai été instantanément guérie. Cette difficulté n'est jamais reparue.
Le passage suivant de Science et Santé m'a paru expliquer particulièrement bien le processus de cette guérison (p. 208): « Un corps matériel n'exprime qu'un entendement matériel et mortel. Un mortel possède ce corps et le rend harmonieux ou discordant selon les images de pensée qu'il y imprime. Votre corps est inclus dans votre pensée, et vous devriez dessiner sur ce corps des pensées de santé, non de maladie. »
J'ai été amenée à voir que la guérison n'est pas tant la suppression de la maladie que la prise de conscience des faits spirituels de l'être. Souvent, une vérité spirituelle est devenue si évidente pour moi dans une guérison, que je peux ensuite, à de nombreuses reprises, mettre en application ce que j'en ai compris.
Plus récemment, ma fille et mon gendre sont venus passer plusieurs semaines chez nous. A leur arrivée, ils souffraient l'un et l'autre d'une toux persistante et pénible. La première semaine, je fus incapable de dormir la nuit.
Puis, une nuit, je me suis rendu compte que je n'avais pas à m'inquiéter du fait que je dorme ou pas: il me fallait prier. J'observais ma pensée avec diligence afin de m'assurer que j'étais bien consciente de Dieu et de Sa création spirituelle, parfaite. Le lendemain matin, ma fille est entrée joyeusement dans la cuisine en disant: « C'est la première fois, de tout l'été, que nous passons une bonne nuit. » La toux avait disparu et il n'y a plus eu de nuits blanches.
Je suis reconnaissante d'avoir été élève à l'école du dimanche de L'Église Mère, de l'âge de quatre ans jusqu'à vingt ans, d'être membre de L'Église Mère et d'une église filiale, et d'avoir suivi le cours de Science Chrétienne.
Marion (Massachusetts), U.S.A.
