Un soir, récemment, après avoir passé la journée à faire des bêtises et à marmonner: « Non, je ne m'aime pas », mon fils, six ans, obéit à contrecœur quand je lui demandai d'aller me chercher quelque chose dont j'avais besoin pour sa petite sœur que j'étais en train de changer au premier étage.
A son retour, je le remerciai en lui faisant comprendre combien il m'avait aidée. Son visage s'éclaira. Tout content, il repartit jouer. Plus de sottises, plus de ronchonnements.
L'idée d'avoir aidé quelqu'un lui avait permis de se dégager des pensées négatives qu'il avait nourries à son égard.
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