Nous vivons dans un monde qui, de bien des façons, semble se rapetisser. Les progrès fantastiques des communications permettent aux habitants d’un hémisphère de connaître les événements qui surviennent dans l’autre hémisphère, au même moment que ceux qui les vivent. Et c’est maintenant chose commune ou à peu près de faire la moitié du tour de la terre en moins d’un jour. On pourrait prendre son petit déjeuner à New Delhi et son souper à New York !
Si notre monde se retrécit, de grands abîmes semblent toujours séparer les individus, les races et les nations. Les différences qui tendraient à diviser l’humanité sont nombreuses et variées: croyances religieuses, idéologies politiques, disparités économiques, préjugés et stéréotypes séculaires, nationalismes exacerbés, etc. Parfois, quand ces différences prennent une vilaine tournure, la violence se met de la partie. Alors notre monde souffre d’actes individuels d’agression, de terrorisme, d’oppression politique ou de guerre. Et il peut sembler qu’un fleuve aux eaux bouillonnantes, en furie, sépare les gens — un fleuve trop large pour être franchi.
Il existe cependant un message évangélique qui promet qu’un pont de guérison peut être construit. C’est le message évangélique de l’amour chrétien.
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