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La Science Chrétienne fut présentée à ma grand-mère en 1915 ;...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de septembre 1986


La Science Chrétienne fut présentée à ma grand-mère en 1915; mes six petits-enfants sont donc des Scientistes Chrétiens de la cinquième génération. Notre famille a maintes fois prouvé le pouvoir de la Vérité qui guérit, protège, réconforte et guide. J’ai rencontré mon mari à l’École du Dimanche de la Science Chrétienne. Plus tard, nous sommes devenus membres d’une église filiale et de L’Église Mère, et après notre mariage, nous avons pu servir joyeusement pendant de nombreuses années, ce qui nous a fourni beaucoup d’occasions de progresser spirituellement.

Parmi les démonstrations survenues dans notre famille, il y a eu des naissances parfaitement harmonieuses, une guérison permanente de migraines, la protection sur la route et en voyage, et la guérison d’une grave maladie de peau et de la scarlatine. Nos garçons ont tous les trois participé à de nombreuses activités et n’ont pratiquement jamais été malades.

Pendant son adolescence, notre fils aîné est tombé lors d’une sortie avec des amis. Il est revenu à la maison avec une épaule qui pendait plusieurs centimètres plus bas que l’autre. A la requête de notre fils, son père a demandé de l’aide à une praticienne de la Science Chrétienne. Cette praticienne nous a demandé de penser à ce qu'est la grâce. Elle a recommandé au garçon de travailler en se fondant sur un verset de la Prière du Seigneur (Matth. 6:11): « Donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien », avec son interprétation spirituelle tirée de Science et Santé de Mary Baker Eddy (p. 17): « Donne-nous Ta grâce pour aujourd’hui; rassasie les affections affamées. » Elle a parlé aussi avec nous des autres significations du mot grâce.. Un dictionnaire donne la définition suivante: « aisance de mouvement ».

Notre fils dormit très bien cette nuit-là, et le lendemain matin, on ne pouvait pas dire quelle épaule avait été blessée. Au bout de quelques jours, il est parti dans un camp d’athlétisme. Plus tard, le jour de la visite des parents, nous l’avons vu participer à un relais de natation et il n’avait aucune difficulté à se servir de son épaule et de son bras. A l’époque, il était à l’école normale, et à la fin des études, tous les élèves subissaient un examen médical. Le docteur qui examina notre fils lui demanda s’il avait eu des maladies ou des accidents pendant ses stages. Apprenant la guérison de la fracture de la clavicule (décrite plus haut), le médecin procéda à un examen rigoureux du bras. Finalement, il s’exclama: « Eh bien, c’est remarquable. Votre aisance de mouvement est parfaite à cent pour cent ! » — il avait employé mot pour mot la définition de la grâce que la praticienne nous avait indiquée un an auparavant.

Pendant qu’il enseignait dans un pays éloigné, ce même fils se cassa l’autre clavicule en skiant. Il ne nous contacta pas et ne demanda pas d’aide, car il était sûr qu’il pouvait résoudre ce problème en Science Chrétienne lui-même. Toutefois, la famille chez laquelle il logeait insista pour qu'il aille passer une visite à l’hôpital. Deux jours plus tard, notre fils y alla (c’était sa première expérience de ce genre). D’après les radiographies, la clavicule avait été cassée, mais elle était « parfaitement » remise en place et elle se soudait. Les docteurs indiquèrent également qu’il semblait que la fracture avait eu lieu à peu près six semaines auparavant. Et pourtant, l’incident était arrivé le week-end précédent. Peu après cela, il fut complètement guéri. Ce fils n’a plus eu d’ennuis avec l’une ou l’autre de ses clavicules depuis.

Notre famille est reconnaissante d’avoir pu démontrer une compréhension de ce que sont les ressources et un vrai sens du foyer. (Nous avons fait construire, puis vendu, trois maisons, au fur et à mesure des besoins de la famille pendant que les garçons grandissaient.) Plus récemment, au moment de la mort soudaine de mon mari, alors que nous étions en visite aux États-Unis, je fus soutenue avec amour en Science par des amis et j’acquis une meilleure compréhension de la vraie compassion.

Je suis particulièrement reconnaissante pour l’amour de L’Église Mère, ainsi que pour le cours de Science Chrétienne donné par un professeur dévoué, pour des praticiens aimants, pour nos Écoles du Dimanche et pour toutes les bénédictions que notre famille a reçues par suite de l’étude de la Science Chrétienne.


Je suis le fils dont il est question dans ce témoignage. Je suis heureux de confirmer les guérisons que ma mère a décrites. J’ai toujours été particulièrement reconnaissant pour la guérison de mon bras. Autant que je me souvienne, c’était la première fois que j’étais consciemment impliqué dans le travail de guérison. Cette guérison a augmenté ma foi et ma compréhension de ce qu’est un traitement par la Science Chrétienne; c’est ce qui m’a permis de prier avec confiance pour moi-même après l’accident de ski. Notre famille continue avec joie à recevoir de multiples bénédictions et à suivre les directives divines auxquelles on s’éveille lorsqu’on s’appuie sur la Science curative de la Vérité, découverte par Mary Baker Eddy.


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