Lorsque les media annoncent une tragédie qui s'est produite quelque part à l'autre bout du monde, loin de nous, ou même dans une ville toute proche, nous aspirons peut-être à aider les personnes touchées, mais nous nous sentons peut-être impuissants parfois. Il y a quelques années, Margaret Powell, une Scientiste Chrétienne, « personne comme tout le monde », s'est trouvée projetée au milieu d'un événement de l'actualité mondiale. Ce qu'elle a appris sur le pouvoir de la prière et du pardon offre une réponse concrète à la question: « Y a-t-il quelque chose que je peux faire ? » L'article qui suit est basé sur une causerie qu'elle a donnée à l'Église con-grégationaliste de Pomfret Nord, à Pomfret, dans le Vermont. Cette église présentait une série de sermons sur le pardon, et, en raison de son expérience, Mme Powell avait été invitée par le pasteur à leur parler.
Pardon à Beyrouth
MARGARET ESTES POWELL
Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de septembre 1986
Tout a commencé le 18 avril 1983, journée ordinaire pour des gens ordinaires en Pennsylvanie. C'était un lundi matin.