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[Original en allemand]

Lorsqu’une chère amie me fit connaître la Science Chrétienne, je...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’août 1986


Lorsqu’une chère amie me fit connaître la Science Chrétienne, je ne me doutais pas de la joie, de l’harmonie et du bonheur qu’il allait en résulter pour notre foyer. C’est toute notre attitude envers la vie qui fut changée. J’étudiais la Bible, conjointement avec Science et Santé de Mary Baker Eddy, depuis peu de temps lorsque j’eus une merveilleuse guérison, guérison qui reste inoubliable.

Un jour, très soudainement, je ressentis de terribles douleurs abdominales. Il y avait d’autres symptômes, comme une forte fièvre et l’impossibilité de retenir toute nourriture. J’étais en état de dépression et je ne dormais plus. Mon mari qui, comme moi, n’étudiait la Science Chrétienne que depuis peu de temps, priait de son mieux pour moi. Voyant qu’il n’y avait pas d’amélioration, nous avons demandé à une praticienne de la Science Chrétienne de nous aider par la prière.

Puis une parente vint nous rendre visite à l’improviste. Lorsqu’elle vit dans quel état j’étais, elle voulut tout de suite appeler un médecin. Elle insista tellement que nous avons décidé d’appeler le docteur qui s’occupait de notre famille avant notre venue à la Science Chrétienne. Mon mari téléphona de la cabine la plus proche et lui demanda de venir. Lorsque le docteur arriva, il m’examina et il ordonna mon hospitalisation immédiate, car il considérait que mes jours étaient en danger.

Le docteur retourna à son bureau en voiture, d’où il appela une ambulance. Entre-temps, mon mari rassemblait mes affaires, et très rapidement, l’ambulance fut là. Mon mari n’eut pas le temps de courir jusqu’à la maison de la praticienne, car il désirait m’accompagner à l’hôpital. (A l’époque, nous pensions que la praticienne n’avait pas le téléphone, car nous allions toujours chez elle lorsque nous avions besoin d’aide. Nous avons appris plus tard qu’elle avait le téléphone.)

A l’hôpital, on me dit qu’un abcès interne s’était formé. Les médecins ne donnèrent aucun traitement, car ils considéraient mon cas sans espoir et pensaient qu’ils ne pouvaient plus rien pour moi. Apparemment, ils s’attendaient à une issue fatale.

Mon mari put passer chez la praticienne deux heures environ après mon admission à l’hôpital. Il lui expliqua ce qui s’était passé et qu’aucun traitement médical ne m’avait été donné. Dans ces circonstances, elle accepta avec bonté de continuer à prier pour moi.

Au début, il m’était souvent impossible de penser clairement tant je souffrais. Puis j’entrevis une lueur. Ma pensée immédiate fut que ma vie était en Dieu et qu’Il ne me laisserait certainement pas mourir. Les prières dévouées de la praticienne et l’aide fidèle de mon mari m’apportaient un merveilleux soutien.

Il y avait trois jours que j’étais au lit à l’hôpital lorsque mon mari me rendit visite, très tôt un matin. (On lui avait permis les visites à toute heure, jour et nuit.) Ce jour-là, je me sentais un peu mieux et tout à coup je pus prier. Lorsque je vis mon mari, je me redressai et m’assis de joie. Auparavant, il m’eut été impossible de le faire. Je me rendis compte que mon ventre était normal et que je ne souffrais plus. Je pouvais à peine croire ce qui s’était passé, et cependant il était clair que le cauchemar était fini. Nous avions touché le bord du vêtement du Christ, de la Vérité. J’étais guérie ! Les mots sont impuissants à traduire ce que j’ai ressenti à ce moment-là.

Lorsque l’infirmière vint, elle fut surprise de me trouver bien. Elle courut chercher une équipe de docteurs. Après m’avoir examinée, ils reconnurent qu’un grand miracle s’était produit et qu’ils n’avaient jamais connu un cas semblable. Bien entendu, je savais, moi, que j’étais redevable à mon Père céleste de m’avoir sauvé la vie. Ma guérison s’est avérée complète.

Remplis d’inspiration par cette merveilleuse victoire, mon mari et moi avons continué d’étudier les magnifiques écrits de Mary Baker Eddy. Nous sommes bientôt devenus membres actifs de l’église filiale de notre ville ainsi que membres de L’Église Mère à Boston, aux États-Unis.

Je pourrais témoigner de bien d’autres guérisons dans notre famille, qui toutes furent produites par une compréhension spirituelle de la sollicitude éternelle de Dieu.

Je remercie Dieu, notre Père et Protecteur, de tout mon cœur; Il nous a merveilleusement guidés pendant de nombreuses années.


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