Dans Science et Santé, Mary Baker Eddy mentionne la guérison d’une femme atteinte de tuberculose. Quand Mary Baker Eddy s’assit près d’elle, priant silencieusement, la respiration de cette femme, pénible lorsque soufflait le vent d’est, redevint normale, bien que le vent soufflât alors de l’est. Nous lisons dans Science et Santé: « Le vent n’avait pas changé, mais sa pensée à l’égard du vent avait changé et par conséquent la difficulté qu’elle avait à respirer avait disparu. » Science et Santé, p. 184–185.
Quelles que soient les conditions, apparemment internes ou externes, qui semblent troubler quelqu’un, il existe une réalité invisible que la prière met en lumière. La réalité spirituelle est que l’homme est parfait, soumis seulement à son Créateur, Dieu, la Vérité divine. L’homme spirituel, harmonieux — la véritable identité de chacun — embrasse toute la création de Dieu et s’harmonise paisiblement avec elle.
Mary Baker Eddy connaissait si bien la vérité concernant Dieu et l’homme que l’évidence des sens matériels ne pouvait la tromper; et elle connaissait si bien cette vérité qu’elle n’avait pas à persuader ceux qui souffraient que ce qu’elle connaissait de Dieu et de Sa création était la vérité pour pouvoir les guérir par sa compréhension spirituelle. Une étude approfondie de ses écrits révèle pourquoi.
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