Tandis que MM. Reagan et Gorbachev se préparaient pour leur première conférence de Genève, j’étais de plus en plus déterminé à ne pas rester en dehors de cet événement. Nul d’entre nous ne doit être exclu des décisions déterminantes pour le destin de ce monde où nous vivons.
Ce n’est pas qu’il y ait de la place pour nous à la table des négociations entre les super-grands. Mais il n’est pas vrai non plus que toute la question puisse reposer entre les mains de deux hommes seulement.
Quand les chefs de deux superpuissances se rencontrent pour discuter, trop de vies dans le monde sont en jeu pour que nous les laissions se débrouiller tout seuls. Si l’on en croit certaines informations, il s’agit ni plus ni moins de la survie de l’humanité. Alors, si la situation est aussi sérieuse que cela, la démarche audacieuse de la guérison, une spiritualisation de la pensée, est toujours indiquée.
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