Les quelques Noëls où le Christ est venu malgré l’impression que j’avais de n’être pas vraiment prêt pour Noël sont ceux qui ont le plus compté pour moi.
Me tournant avec persistance vers la lumière du Christ, j’ai senti ma joie me revenir irrésistiblement en la présence de la réalité spirituelle. Et chaque fois, j’ai appris à nouveau cette leçon: la lumière de la compréhension spirituelle n’est jamais vraiment perdue, parce qu’elle n’appartient pas à un mortel qui peut la perdre; elle émane de Dieu et illumine l’homme qu’Il a créé. Elle est toujours ici. Quelles que soient les circonstances, la Vérité est toujours « prête ». Elle nous parle de la plénitude de la création de Dieu, l’homme y compris.
Ces Noëls-là, il y avait des guérisons physiques. Et mieux qu’aucune carte de Noël n’aurait jamais pu nous le communiquer, nous ressentions que le Christ, le message de Dieu à l’humanité, était la lumière luisant dans les ténèbres. Voir Jean 1:5.
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