Un hiver, lorsque je vivais en Europe de l’Est, j’étais partie dans une station de montagne pour faire du ski. Le ski n’était pas très bon, mais la neige s’étendait comme un épais tapis blanc sur le paysage.
La veille de Noël, je partis faire une promenade en fin d’aprèsmidi. Mon sentier me conduisit loin de la foule et de l’agitation sur la paisible pente d’une colline. Là, dans le crépuscule qui tombait, j’arrivai à une petite maison au toit couvert de neige. A la fenêtre sans rideaux, se trouvait un petit arbre de Noël, éclairé de bougies dont la lumière brillait à l’extérieur pour le passant. Au moment où je passais devant, j’entendis les accents d’un violon jouant une douce mélodie dans une maison plus loin.
Ce petit arbre éclairé à la fenêtre et brillant au dehors dans la nuit et les doux accents de la musique lointaine me firent une impression inoubliable. Les lumières étaient là pour illuminer le message de la naissance de celui qui est la lumière du monde. Ainsi que saint Jean le dit du Christ, le Christ que Jésus démontra: « Cette lumière était la véritable lumière, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme. » Jean 1:9. Et la musique semblait un écho du chant des anges qui proclama la paix sur la terre, la bonne volonté envers les hommes.
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