Skip to main content Skip to search Skip to header Skip to footer

[Original en allemand]

C’est avec gratitude que je témoigne d’une guérison qui m’a fait...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de décembre 1986


C’est avec gratitude que je témoigne d’une guérison qui m’a fait connaître la Science Chrétienne et qui a donné un but spirituel à ma vie.

Lorsque ma fille avait huit ans, elle est tombée gravement malade. (A cette époque, j’étais divorcée et j’avais la garde complète de l’enfant.) Elle fut conduite à l’hôpital, où l’on diagnostiqua une méningite. Elle fut immédiatement placée à l’isolement et je fus autorisée à lui rendre visite chaque jour, mais seulement du seuil de la porte de sa chambre. Après des jours d’inconscience et d’une forte fièvre, le médecin-chef m’informa que ma fille allait mourir et que c’était mieux ainsi, car autrement elle resterait anormale mentalement. A ce stade, le traitement médical fut interrompu.

Je ne saurais dire dans quel état je me trouvais. Le chagrin m’envahissait physiquement et moralement comme un poids écrasant. Sur le chemin du retour, ce jour-là, et bien que j’aie évité les gens, je me suis sentie poussée à m’arrêter chez une personne de ma connaissance qui était garde-malade paroissiale. Elle était chez elle et je lui racontai tout mon chagrin. Elle me dit alors que du point de vue médical, il n’y avait aucun espoir pour ma fille, mais que je pouvais essayer la Science Chrétienne. Elle-même avait été aidée par cette Science, me dit-elle.

Je m’accrochai à ce conseil comme une personne qui se noie s’accroche à une planche et je me rendis immédiatement à l’adresse de la praticienne de la Science Chrétienne qu’elle m’avait donnée. La personne qui m’accueillit à la porte était radieuse d’amour et de gentillesse. Je suis restée avec elle pendant environ deux heures. En raison de l’état physique et mental dans lequel je me trouvais, et parce que la Science Chrétienne ne m’était pas familière, je n’ai pas compris grand-chose à ce que la praticienne m’a dit. Et pourtant, ce que j’ai pu saisir est resté aussi clair pour moi que si je l’avais entendu d’hier. La praticienne me demanda si je croyais en Dieu et me dit que ma pensée était très importante, puisqu’une mère à une relation mentale très étroite avec son enfant. A cette question, je pus répondre par l’affirmative. Puis elle me dit que de même qu’un rayon de soleil émane du soleil, de même l’homme est le produit de Dieu, inséparable de sa source. Ensuite, elle me demanda si je croyais que mon enfant guérirait. Sans hésitation, je dis « oui ! » Aujourd’hui encore, cela me paraît merveilleux, car cette réponse soudaine ne venait pas de ma tête, mais de mon cœur.

Le fardeau qui avait pesé si lourd sur moi me quitta. J’étais libre et heureuse. Rien au monde n’aurait pu me dérober la joyeuse certitude de la guérison de ma fille.

Quand je suis arrivée chez moi, tout le monde pensait que ma fille était morte. Mais je dis très fermement et joyeusement: « Elle va guérir ! » Le lendemain matin, je me suis rendue à l’hôpital. L’infirmière que je rencontrai dans le couloir me dit qu’au cours de la nuit, la fièvre était tombée et que maintenant ma fille était de nouveau parfaitement consciente. Lorsque je fus au seuil de la porte, qui était ouverte, ma fille était assise dans son lit. Elle me reconnut et me sourit.

Quel merveilleux changement avait eu lieu en moi et en ma fille depuis que j’avais parlé à la praticienne ! Aujourd’hui encore, je suis reconnaissante de tout mon cœur pour la prière dévouée de la praticienne.

Une semaine plus tard environ, ma fille quittait l’hôpital, en bonne santé, mentalement et physiquement. En fait, quelque temps après sa guérison, elle passait avec succès un examen d’entrée à l’école secondaire et ses notes étaient supérieures à celles des années précédentes.

Au moment de la guérison, débordante de joie, je pensais: « Quel miracle ! » Aujourd’hui je sais que grâce au travail de prière de la praticienne, j’avais pu entrevoir l’amour de Dieu, dans lequel il n’y a pas de maladie et où tout est parfait. Dans Science et Santé, Mary Baker Eddy déclare (p. 134): « Nous sommes divinement autorisés à croire à la suprématie du pouvoir spirituel sur la résistance matérielle. » Et à la page 261 du même ouvrage, nous lisons: « Détournez votre attention du corps pour contempler la Vérité et l’Amour, le Principe de tout bonheur, de toute harmonie et de toute immortalité. » C’est exactement ce que j’avais été amenée à faire, et le résultat fut la guérison.

Aujourd’hui ma fille est un membre actif d’une église filiale et elle a deux beaux enfants. Je suis également membre actif d’une église filiale. Pour cette guérison et beaucoup d’autres, et particulièrement pour le cours de Science Chrétienne, je suis très reconnaissante. La Bible et le livre d’étude, Science et Santé, ainsi que d’autres publications de la Science Chrétienne, sont mes meilleurs guides sur le sentier de la croissance spirituelle. Je remercie Dieu et je Lui rends gloire.


Pour découvrir plus de contenu comme celui-ci, vous êtes invité à vous inscrire aux notifications hebdomadaires du Héraut. Vous recevrez des articles, des enregistrements audio et des annonces directement par WhatsApp ou par e-mail. 

S’inscrire

Plus DANS CE NUMÉRO / décembre 1986

La mission du Héraut

« ... proclamer l’activité et l’accessibilité universelles de la Vérité toujours disponible... »

                                                                                                                                 Mary Baker Eddy

En savoir plus sur le Héraut et sa mission.