L'existence des gens paraît souvent être tissée d'images du passé. Il semble que ce qu'une personne a déjà éprouvé dans son existence a tendance à déterminer le cours du reste de cette existence. Nous gardons tellement de souvenirs en nous, certains bons et agréables, d'autres pas.
Parmi les souvenirs désagréables susceptibles de hanter une personne et d'entraver ses progrès pourrait figurer la mémoire effrayante d'une maladie ou d'un accident pénible, même alors que la personne a cessé d'en souffrir physiquement. Ce peut être également la mort d'une personne aimée ou un échec dans notre carrière, ou une relation intime qui se brise, ou un péché commis des années auparavant — de telles réminiscences peuvent sembler parfois maintenir certains d'entre nous sous l'emprise d'un passé cruel.
Il y a sans aucun doute un sens correct d'être instruit par nos expériences précédentes, apprenant par nos erreurs et nos échecs mêmes (et apprenant à ne pas les refaire). Comme l'écrit Mary Baker Eddy, Fondatrice de la Science Chrétienne: « Il est bon de deviser avec nos heures passées, d'apprendre quel message elles portent et comment elles auraient pu témoigner d'une plus grande croissance spirituelle. » Écrits divers, p. 330.
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