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Je suis très reconnaissante au sujet de la Science Chrétienne*.

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’août 1984


Je suis très reconnaissante au sujet de la Science Chrétienne*. Il y a plusieurs années, je fumais énormément de cigarettes et de la marijuana et je buvais pour fuir mes difficultés. A peu près à cette époque-là, mes deux garçons souffraient beaucoup d'otites et je les conduisais souvent chez le médecin. Comme les infections se répétaient, le médecin prescrivit des médicaments à leur donner continuellement, qu'ils souffrent ou pas. Bientôt mes fils furent si malades que le médecin voulait pratiquer une opération. L'un d'eux avait juste six mois et je craignais beaucoup que l'opération ne lui provoque une détérioration permanente de l'ouïe. Puis un jour, l'aîné fut réveillé de sa sieste par la douleur et la fièvre. Quand l'aspirine n'apporta aucun soulagement, je pensai: « J'en ai vraiment assez ! Je T'en supplie, mon Dieu, aide-moi. » C'est alors que je me souvins d'un livre de Mary Baker Eddy intitulé Science et Santé avec la Clef des Écritures, que mon professeur de violon m'avait donné quelques années auparavant. Je me rappelai que la Science Chrétienne guérit sans médicament et que les Scientistes Chrétiens croient que Dieu peut toujours aider les hommes.

J'appelai cette amie et lui demandai si elle pensait que la Science Chrétienne pouvait aider mon enfant. Elle me raconta de nombreuses guérisons qu'elle avait eues et m'assura que Dieu guérit réellement. Elle me donna également le numéro de téléphone d'une praticienne de la Science Chrétienne. Pleine d'espoir, j'appelai cette praticienne et la mis au courant de la difficulté. Cette dernière me dit que Dieu aimait mes garçons et qu'ils n'avaient pas à souffrir. Elle accepta aussi de prier pour eux si je voulais bien les confier à Dieu. Il y avait dans sa voix une telle conviction de l'amour de Dieu que j'acceptai avec joie et cessai d'utiliser les médicaments. Bientôt la fièvre quitta l'enfant et il s'endormit paisiblement. Le lendemain, il jouait dehors, heureux et libre. L'autre garçon fut également guéri par la prière et ils n'eurent plus jamais de problèmes avec leurs oreilles.

J'étais si reconnaissante que je commençai à lire Science et Santé pour découvrir comment Dieu avait guéri mes fils. La bonté dont parlait ce livre me sembla d'une importance beaucoup plus grande que de s'enivrer ou de prendre des drogues par plaisir et pour se distraire. Bientôt le désir d'être bonne remplaça tout désir de boire et de me droguer. J'étais guérie. Puis je commençai à assister aux services du dimanche et du mercredi dans une filiale de l'Église du Christ, Scientiste. J'éprouvai un tel réconfort, une telle paix et une telle harmonie durant ces services que je continuai d'y assister et de lire Science et Santé. J'aimais aussi cette inscription sur le mur de l'église (Science et Santé, p. 494): « L'Amour divin a toujours répondu à tout besoin humain et y répondra toujours. »

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