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[Original en suédois]

Pendant bien des années, j’ai été ennuyée par une grosseur sur le...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de janvier 1984


Pendant bien des années, j’ai été ennuyée par une grosseur sur le côté gauche de mon nez, qui me défigurait. Pendant tout ce temps, j’étais membre de L'Église Mère et servais activement dans une église filiale à divers postes. Quand la guérison survint, j'étais alors Première Lectrice. J'avais prié pour être guérie, et j'avais aussi reçu l'aide de praticiens de la Science Chrétienne à plusieurs reprises. La situation toutefois demeurait inchangée. Quelques personnes me suggérèrent même de me faire opérer puisque cela me défigurait. Mais ce genre de conseil ne me tentait pas. Je savais qu'il n'y a qu'un seul médecin véritable, l'Entendement divin. Tout ce qu'il y avait à corriger dans ma pensée, je désirais le voir corrigé, plus que toute autre chose. Et j'étais certaine que cela aurait pour résultat la guérison.

Puis un jour, on me demanda de lire la traduction en suédois de la conférence sur la Science Chrétienne que notre église filiale devait donner un mois et demi plus tard. J'en fus tout à fait surprise. Il ne m'était jamais venu à l'idée que je puisse être choisie pour cette tâche. Mais cela me rendit aussi très heureuse, et j'étais certaine que cela me passionnerait de le faire; aussi j'acceptai. Bien sûr, le doute me vint que je n'étais probablement pas la personne idoine à cause de mon apparence. Mais d'un autre côté, tant de vérités merveilleuses me venaient à l'esprit, que je ne pouvais tout simplement m'empêcher d'être heureuse d'avoir été choisie. Je pensai à ce verset des Psaumes (139:14): « Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes œuvres sont admirables, et mon âme le reconnaît bien. » Et je me souvins de cet énoncé de Science et Santé de Mary Baker Eddy (p. 463): « Une idée spirituelle ne renferme pas un seul élément d'erreur, et cette vérité enlève convenablement tout ce qui est nuisible. » Je me réjouis donc de pouvoir participer à la diffusion de cette conférence, et je m'attendis à ce qu'elle fût une bénédiction autant pour moi que pour tous ceux qui viendraient l'entendre. Notre église avait reçu une lettre du conférencier sur la Parole de Dieu; il avait attiré notre attention sur ce verset (Ésaïe 55:11): « Ainsi en est-il de ma parole, qui sort de ma bouche: elle ne retourne point à moi sans effet, sans avoir exécuté ma volonté et accompli mes desseins. »

Je me préparai du mieux que je pus pour la conférence et je ressentis une immense gratitude envers les conférenciers de la Science Chrétienne en général et envers le nôtre en particulier, car il venait avec un message neuf. Le cantique n° 204 de l'Hymnaire de la Science Chrétienne m'inspira beaucoup. Il commence ainsi:

O Père divin, ô puissant Créateur,
Ton règne est venu sur la terre !
Tes témoins proclament à tous les pécheurs
Le salut que le monde espère:
La gloire du Dieu qui libère.

On me donna la traduction de la conférence à étudier, et elle me plut du début à la fin. Quand je la lus en entier pour la première fois, un point ressortit particulièrement: nous n'avions pas à nous prosterner devant un verdict humain qui pouvait nous être imposé. Ce fait me frappa. Le conférencier continuait en disant que puisque l'homme est créé et gouverné par Dieu, le bien omnipotent, les conditions matérielles ne peuvent l'affecter. Pourquoi donc un verdict humain pourrait-il menacer qui que ce soit ? Je continuai à lire la conférence et à méditer ce message chaque jour autant que je le pouvais.

Le mercredi précédant la semaine où la conférence devait être donnée, la grosseur sur mon nez commença à me gêner et devint encore plus perceptible que d'habitude. Je m'attachai au fait que ma nature véritable ne pouvait être touchée par la matérialité ou l'imperfection, et j'allai à la réunion de témoignage de l'église filiale avec joie. Toutefois, les malaises et l'inconfort dus à cet état augmentèrent. Je continuai cependant à me livrer à mes activités quotidiennes et à lire au pupitre le dimanche comme d'habitude. Entre-temps, je priai aussi pour un ami qui m'avait demandé de l'aide.

Le dimanche après-midi, pendant que je me rendais chez cet ami, je fus remplie d'une immense joie pour tout ce que j'avais appris au sujet de Dieu grâce à la Science Chrétienne, et que je pouvais maintenant partager, me permettant ainsi d’apporter du réconfort. Quand je rentrai chez moi, un chant retentissait au-dedans de moi, et mon nez et tous les ennuis qui allaient de pair avec le problème avaient cessé de m'impressionner. Le lundi matin, quand je me regardai dans le miroir, je vis que tout était en ordre — il n'y avait rien à voir qui ne devait être là ! La grosseur avait complètement disparu. Plus tard ce matin-là, mon ami m'appela et me dit qu'il allait tout à fait bien et n'avait plus besoin d'aide.

Le samedi suivant, on donna la conférence, et ce fut merveilleux. J'en suis encore inspirée, et d'autres le sont aussi. Le mercredi d'après, je donnai un témoignage dans notre église filiale et remerciai Dieu de la guérison. Bien sûr, le conférencier fut informé de ce résultat de sa conférence.

Je peux simplement dire: Merci, cher Père-Mère Dieu, pour la Science divine — le Consolateur promis par Christ Jésus — et pour tout ce qui a à voir avec la découverte de Mary Baker Eddy, la Science Chrétienne, et tous ceux qui la pratiquent.


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