Nous avons habité pendant quelque temps dans les Émirats arabes unis. Un jour, notre famille se mit en route pour une plage que des amis nous avaient recommandée. Ils nous avaient expliqué comment nous y rendre, ajoutant que très peu de repères jalonnaient la route.
L'itinéraire commençait par une large route goudronnée, puis traversait le désert sur quelques kilomètres en suivant une piste usée et durcie au milieu des sables. Après avoir suivi cette piste un bon moment, nous eûmes l'intuition que nous ne devions pas être sur la bonne piste, et nous décidâmes de faire demi-tour. Cependant, avant que nous puissions le faire, la voiture atteignit une zone de sable mou et s'immobilisa. Nous eûmes beau lancer le moteur ou le pousser, rien n'y fit: la voiture ne bougea pas. Le cric s'enfonça dans le sable et nous ne pûmes soulever suffisamment le véhicule pour placer des objets entre les pneus et le sol afin d'obtenir un point d'appui. Ce fut en pure perte également que nous essayâmes de pelleter le sable.
Il était à peu près onze heures du matin, et nous approchions du moment le plus chaud de la journée. La température était d'environ 48°, il faisait très humide et il n'y avait pas d'air. L'intérieur de l'auto devint extrêmement chaud et étouffant. Nos deux filles de trois et cinq ans étaient très mal à leur aise. Mais elles chantaient des cantiques de l'Hymnaire de la Science Chrétienne, surtout ceux qui ont été écrits par Mary Baker Eddy. Elles avaient appris ces cantiques tant aimés à l'École du Dimanche de la Science Chrétienne.
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