Les enfants d'Israël livraient une bataille importante contre Amalek. Tant que Moïse tenait son bâton bien haut au-dessus de la tête, ils l'emportaient. Lorsque Moïse faiblissait et que le bâton s'abaissait, ils étaient les moins forts. Alors Aaron et Hur tinrent les mains de Moïse. Ils apportèrent une pierre sur laquelle il put s'asseoir et ils l'aidèrent en le soutenant jusqu'à la victoire. Voir Ex. 17:8–13.
Ce récit m'a été très utile, car il m'est souvent arrivé de ne pas réagir comme Aaron et Hur. Là, sur le champ de bataille, j'aurais fait des remarques caustiques et judicieuses du genre: Voilà Moïse qui laisse de nouveau s'abaisser le bâton. Et d'abord, qui l'a mis là à ce poste ? S'il n'a pas assez de force pour accomplir convenablement cette tâche, pourquoi ne la donne-t-il pas à quelqu'un d'autre ? Ne croyez-vous pas que Moïse est en train de devenir un peu vieux pour ce genre de travail ?
Si des hommes comme moi avaient été avec Moïse, nous aurions chargé son bâton d'un tel poids de critiques et de grogne que ce bâton serait vite tombé et se serait même fermement enfoncé dans la terre. La bataille aurait été perdue du fait d'une embuscade de l'intérieur.
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