J'ai eu de nombreuses preuves que Dieu prenait soin de moi et me guidait, mais il y a environ quatre ans, il me fallut me confier au pouvoir guérisseur de Dieu comme je ne l'avais encore jamais fait auparavant, lorsque apparurent, sur mes deux jambes, des grosseurs accompagnées de douleur. Pendant plusieurs mois, à différentes reprisses, je reçus l'aide de deux praticiennes de la Science ChrétienneChristian Science (’kristienn ’saïennce), et je priai personnellement moi-même à d'autres périodes.
Je savais qu'en réalité, je suis l'idée spirituelle immuablement sans tache de Dieu. L'admission que mon corps n'est pas matériel, mais un concept mental inclus dans ma conscience, m'aida également. J'étais donc, en fait, aux prises avec ma pensée plutôt qu'avec un état matériel. A la page 400 de Science et Santé avec la Clef des Écritures, Mary Baker Eddy se réfère au corps comme « pensée consciente ». Je pus voir clairement que ce dont j'avais besoin, c'était d'éliminer les suggestions de maladie et de douleur lorsqu'elles essayaient de s'implanter dans ma conscience. La déclaration suivante, révélant le fait fondamental de la conscience, fut aussi une source d'inspiration (ibid., p. 536): « La compréhension divine règne, elle est tout, et il n'y a aucune autre conscience. »
A un certain moment, lorsque la douleur me réveilla en pleine nuit, l'idée me vint de nier que l'homme de Dieu pouvait mourir ou être tué. Je priai avec diligence au sujet de cette vérité concernant l'immortalité de mon être en tant qu'enfant de Dieu. La douleur cessa momentanément et je me rendormis.
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