Pour la plupart d’entre nous, le 1er janvier est une date célébrée annuellement comme un nouveau commencement, le symbole d’une nouvelle espérance, une époque de l’année où il est de tradition de faire un bilan du passé et des projets pour un meilleur avenir. Comme le dit notre Leader, Mrs. Eddy: « Une nouvelle année est un nourrisson, un enfant du temps, une prophétie et une promesse revêtue de vêtements blancs, que l’on embrasse et surcharge de compliments, exhalant le chagrin et la gratitude. » Pulpit and Press, p. 1; Nous avons l’impression de tourner, pour ainsi dire, une page du livre de la vie humaine et de commencer un nouveau chapitre dans l’histoire de notre développement.
Cependant ce premier jour qui revient chaque année dans le calendrier grégorien n’a, en réalité, aucun rapport avec Dieu ou avec Ses idées spirituelles — avec nous dans notre être réel — puisque, comme le fait remarquer notre Leader dans Science et Santé: « L’éternité, non le temps, exprime la pensée de la Vie, et le temps ne fait pas partie de l’éternité. » Science et Santé, p. 468;
Les hommes et les femmes immortels — nous-mêmes, dans notre véritable être spirituel — vivent éternellement dans l’Esprit, non dans la matière. Tous les dons, spirituels et bons, appartiennent à l’homme — à nous — maintenant et à jamais. L’homme spirituel coexiste avec l’Amour infini, source de son être, et il ne regarde ni en arrière avec nostalgie ou regret ni en avant avec espoir ou appréhension. En tant qu’expression de l’Entendement éternel, il est conscient d’être invariablement dans sa plénitude, en présence de cette beauté spirituelle infinie et de cette bonté pure de l’Ame dont il est le témoin, et qui assurent sa joie et son harmonie — les nôtres — impeccables et ininterrompues.
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