La prière est l'aide la plus efficace

Être conscient des besoins urgents de l’humanité à notre époque — des réfugiés de guerre, de ceux qui souffrent de la famine ou de désastres économiques — cela donne à de nombreuses personnes le sentiment aigu qu’elles doivent faire tout ce qu’elles peuvent pour aider.

Mais nous pouvons bien nous demander: « Ou commencer ? Comment puis-je aider à guérir un monde en difficulté? » Nous pouvons nous reporter aux sages conseils de Mary Baker Eddy, Découvreur et Fondateur de la Science ChrétienneChristian Science (’kristienn ’saïennce), qui se trouvent dans ses écrits et dans sa propre réponse aux besoins des autres. Une déclaration particulière de Mrs. Eddy évoquée par une de ses élèves a rendu l’auteur de cet article plus vivement consciente de la façon d’aider efficacement l’humanité: « Je vis l’amour de Dieu encerclant l’univers et l’homme, remplissant tout l’espace, et cet Amour divin pénétra tellement ma propre conscience que j’aimai avec la compassion du Christ tout ce que je voyais. » ^{We Knew Mary Baker Eddy (Nous avons connu Mary Baker Eddy), First Series (Boston: The Christian Science Publishing Society, 1943), p. 74;} Ne semblerait-il pas d’après cela que pour atteindre les autres afin de les aider, nous devons en réalité les inclure dans notre perception du pouvoir guérisseur et de la présence de l’Amour divin ?

Comprendre que l’humanité est incluse dans le champ infini de l’amour et du pouvoir de Dieu, c’est la vraie prière, et le pouvoir de la prière ne devrait pas être sous-estimé. Aucun pouvoir sur terre n’égale le pouvoir de Dieu, la puissance de l’Amour divin infini. Mrs. Eddy écrit: « La vraie prière, ce n’est pas demander l’amour à Dieu; c’est apprendre à aimer et à inclure tout le genre humain dans une même affection. » Et plus loin, elle nous dit pourquoi la prière est efficace: « Elle nous montre plus clairement que nous ne le voyions auparavant ce que nous possédons et ce que nous sommes déjà, et pardessus tout, elle nous montre ce qu’est Dieu. » ^{Non et Oui, p. 39;}