Je n’ai pas accepté tout de suite la Science Chrétienne, bien que je comprenne maintenant les bienfaits que j’ai reçus de ma première lecture de Science et Santé de Mrs. Eddy. De nombreuses guérisons de maladies, d’accidents et de toutes sortes de discordances ont béni ma famille depuis que j’ai accepté la Science et que je me suis mise à l’étudier sérieusement. Bien que je sois très reconnaissante pour ces guérisons, je le suis davantage encore pour la compréhension spirituelle qu’elles m’ont apportée.
Notre sixième enfant est né après que j’eus commencé à étudier la Science Chrétienne et à la mettre en pratique. Par mon choix délibéré, l’accouchement eut lieu chez moi et fut harmonieux en tous points. Quelques semaines après la naissance de ce petit garçon, une infirmière de la ville se présenta chez nous pour effectuer un test prescrit par la loi afin de détecter toute anomalie dans le développement mental normal de l’enfant. Ignorant que je pouvais me prévaloir de l’exemption accordée aux Scientistes Chrétiens, je laissai faire. Deux semaines plus tard, nous fûmes informés que le test décelait d’exceptionnelles anomalies. Nous décidâmes de nous appuyer uniquement sur des moyens spirituels pour arriver à la guérison. Mon mari me demanda d’appeler une praticienne de la Science Chrétienne.
Ce verset de la Bible me fut particulièrement utile dans ma propre prière pour l’enfant (Ps. 138:8): « L’Éternel agira en ma faveur. Éternel, ta bonté dure toujours, n’abandonne pas les œuvres de tes mains ! » Je savais que ma pensée était ce qui devait être rendu parfait.
Utile aussi me fut cette affirmation dans Science et Santé (p. 207): « Il n’y a qu’une cause première. Donc il ne peut y avoir d’effet d’aucune autre cause, et il ne peut y avoir de réalité en quoi que ce soit qui ne procède pas de cette grande et unique cause. »
Cinq jours après que le traitement en Science Chrétienne eut commencé, un second test fut pratiqué par l’infirmière. Les résultats de ce second test révélèrent une si grande amélioration que l’État n’envoya plus jamais personne nous contacter.
Façonné par l’Éternel Dieu
Qui le voulut parfait,
L’homme est pur, noble, harmonieux,
Son immortel reflet.
Ces paroles du cantique n° 51 de l’Hymnaire de la Science Chrétienne furent ma pensée constante durant les semaines qui suivirent la visite de l’infirmière. Elles étaient à la fois très réconfortantes et calmaient mes craintes.
Ce petit garçon se traîna à quatre pattes, s’assit tout seul et marcha bien avant d’atteindre sa première année. Il est, et a toujours été, très éveillé, tout le monde étant d’accord pour en faire la remarque, même des étrangers.
Je suis reconnaissante en vérité d’être membre de L’Église Mère et d’une église filiale, pour les praticiens et les conférenciers de la Science Chrétienne, et aussi pour les publications de la Science Chrétienne.
San Antonio (Texas), U.S.A.
