J’ai été guérie de sinusite chronique il y a environ neuf ans, alors que je lisais Science et Santé avec la Clef des Écritures pour la première fois. Je souffrais de ce mal lorsque j’arrivai au récit relatant comment l’auteur de ce livre, Mary Baker Eddy, guérit une femme d’une difficulté respiratoire due à la tuberculose (appelée alors consomption).
Cette femme souffrait toujours beaucoup lorsque le vent d’est soufflait. Mais Mrs. Eddy la guérit en dépit du fait qu’à ce moment-là la girouette indiquait que le vent venait de l’est. Le récit se termine ainsi (p. 184): « Le vent n’avait pas changé, mais sa pensée à l’égard du vent avait changé et par conséquent la difficulté qu’elle avait à respirer avait disparu. Ce n’était pas le vent qui avait produit cette difficulté. Mon traitement métaphysique changea l’action de sa croyance sur les poumons, elle ne souffrit plus jamais des vents d’est, et sa santé fut rétablie. »
En lisant ce récit je me rendis compte que j’avais toujours accusé les vents froids d’être responsables de ma sinusite, et j’eus l’inspiration de mettre à l’épreuve la lueur de vérité que j’acquis alors — savoir, que l’homme est éternellement gouverné par Dieu et qu’il est par conséquent toujours harmonieux. Cette même nuit, alors que comme de coutume on me donnait une pilule à prendre avec ma boisson chaude en me couchant, je mis la pilule dans la poche de mon peignoir au lieu de l’avaler. Je dormis bien, et depuis ce moment-là, je n’ai plus jamais pris de remède sous quelque forme que ce fût. Ce mal n’a jamais reparu au cours des années.
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