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Dieu est à mon côté

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de janvier 1977


Un après-midi, quand j'avais cinq ans, ma mère décida de faire une visite à des voisins. Elle me demanda si je voulais l'accompagner. Mais je lui dis: « Non, je veux faire du vélo. »

Voyez-vous, je venais tout juste d'apprendre à rouler sur mon vélo à deux roues et je voulais y remonter encore. Donc ma mère partit et j'allai au garage prendre ma bicyclette. La porte coulissante était bien fermée et dure à ouvrir. Mais je poussai de toutes mes forces et elle finit par remonter.

Après avoir sorti mon vélo il fallait faire redescendre la porte du garage. Je pensai qu'il serait amusant de placer mon pied sur la poignée de la porte et de descendre avec elle tandis qu'elle s'abaissait. Et elle retomba, en effet — tout droit sur mon autre pied !

Je me mis à pleurer, mais je savais que j'avais besoin d'aide. Je voulais traverser la rue pour voir ma mère. Sautillant à cloche-pied, j'allai aussi loin que je pus, ensuite un voisin m'aida à aller jusqu'à la maison où se trouvait ma mère. Au moment même où j'avais besoin d'aide, cette aide était là. Je sentis que l'amour de Dieu était vraiment là avec moi.

Ma mère me ramena à la maison et m'installa sur le divan. Je me reposai là tout en pensant que c'était bien bête d'être couchée alors que j'aurais pu être dehors en train de m'amuser. Mais il ne semblait pas encore possible que je me serve de mon pied.

J'avais appris à l'École du Dimanche de la Science Chrétienne que Dieu est partout et qu'il n'était pas possible que je sois séparée de Lui. Je savais que Dieu aide les gens à se libérer de tous leurs problèmes s'ils se tournent vers Lui. La Bible nous dit: « Le secours me vient de l'Éternel, qui a fait les cieux et la terre. Il ne permettra point que ton pied chancelle. » Ps. 121:2, 3;

Il était important de bien fermer la porte à l'erreur, aux mauvaises pensées. J'avais appris à fermer la porte à ce qui est mauvais et à l'ouvrir toute grande à Dieu. Je refusai d'écouter le mensonge qui disait que je ne pouvais pas marcher. Je savais que les suggestions de l'erreur ne viennent pas de Dieu, qui ne me donne que des pensées pures et saines.

Dans le Glossaire de Science et Santé, Mary Baker Eddy donne cette définition spirituelle du mot « enfants »: « Les pensées spirituelles et les représentants de la Vie, de la Vérité et de l'Amour. » Science et Santé, p. 582. En tant que représentant de Dieu, l'Amour divin, je savais que je ne pouvais avoir que ce que Dieu me donne, tout le bien.

J'allai me coucher cette nuit-là en sachant que j'étais une enfant de Dieu et que Dieu m'avait faite parfaite. Les pensées justes et la vraie force viennent toutes deux de Lui.

Dès le lendemain matin, j'étais debout et je marchais. Je savais que Dieu était à mon côté.

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